Connaissez-vous les secrets de tournage de "La Tour infernale" ?

Connaissez-vous les secrets de tournage de "La Tour infernale" ?

© Tous droits réservés

Pour votre   séance classique ciné   ce mardi 6 août à 21h10, la Trois vous propose   le film culte et multirécompensé “La Tour infernale” (non, pas celle de Montparnasse !) . Sorti en 1974, “La Tour infernale” est plutôt inspirée par   la construction du World Trade Center au début des années 1970 , puisque   John Guillermin   y   raconte le drame d’ un incendie qui se déclare au 135e étage d’un immense gratte-ciel, le soir de son inauguration .

Trêve de   blabla , voici   5 choses à savoir sur ce monument du cinéma  :

1/ Le casting le plus prestigieux de tous les temps

Steve McQueen et Paul Newman

Jusqu’à présent, aucun film n’a encore pu égaler le prestige de cette distribution . En tête d’affiche : Paul Newman  et  Steve McQueen , les deux acteurs les mieux payés au monde à l’époque.

Mais ce n’est pas tout . À leurs côtés, on retrouve   douze vedettes , parmi lesquelles  Fred Astaire, O. J. Simpson, Robert Vaughn, William Holden, Faye   Dunaway , Robert Wagner, Susan Flannery, Susan   Blakely , Richard Chamberlain   Gregory Sierra, Dabney   Coleman et Jennifer Jones.   Du très haut niveau .

2/ Pas une, mais deux boîtes de production !

C’est du jamais vu : pour “La tour infernale”, la   20th Century Fox et la Warner se sont exceptionnellement associées . Elles ont donc partagé les coûts de production (qui sont colossaux). Ce qui explique aussi en partie ce casting 5 étoiles.

3/ The Tower + The Glass Inferno

Mais pourquoi  avoir associé deux boîtes de prod me direz-vous ? Pour la petite histoire, le scénario du film est en fait   la combinaison de deux romans assez similaires , “The Tower” et “The Glass   Inferno ”.   Et il se trouve que les “films catastrophe” étant à la mode dans les années 70, la Warner a acheté les droits de “The Tower" plus ou moins au même moment que la 20th Century Fox a acquis les droits de “The Glass  Inferno ”. Pour  éviter de se concurrencer au box-office , les deux boîtes de prod ont donc décidé de  faire équipe .  Smart  choice .

Pour le titre du film, elles ont simplement fusionné ceux des romans, ce qui donne… “The   Towering   Inferno ” (en   vf   : “La tour infernale”) !

4/ Une minuscule tour

Dans le film, la fameuse “La Tour Infernale” est un gratte-ciel de 138 étages. En réalité, c’est une minuscule maquette   et presque tout a été tourné en studio .

5/ On fire !

Connaissez-vous les secrets de tournage de "La Tour infernale" ?

C’est Steve McQueen  qui joue le rôle du chef pompier  O’Halloran (il a insisté) et  qui tente de sauver les invités piégés au 135e étage du gratte-ciel en feu. Pour l’occasion, il a suivi une   formation avec des professionnels   et s’est même   porté volontaire   pour aider une centaine de pompiers lors d’un important incendie à Los Angeles. On peut dire qu’ il était   on   fire  pour interpréter son personnage !

Allez, une dernière petite anecdote pour la route : s i vous regardez bien, vous pourrez apercevoir cette touchante   dédica c e dans le générique  : "  To   those   who   give   their   lives   so   that   other   might   live, to the   fire   fighters of the world, this   picture   is   gratefully   dedicated .  ". Soit, en français : “ À ceux qui donnent leur vie pour que d’autres puissent vivre, à tous les pompiers du monde, ce film vous est sincèrement dédié ”.

Maintenant que vous connaissez les secrets de tournage de “La Tour Infernale”, n’oubliez pas de regarder le film ! C’est   ce mardi 6 août à 21h10 sur la Trois, ou sur   Auvio .

la tour infernale lieu de tournage

Inscrivez-vous aux newsletters de la RTBF

Tous les sujets de l'article

  • Classic ciné
  • Fictions et séries

Articles recommandés pour vous

la tour infernale lieu de tournage

La rencontre de Zizou Bergs contre Maximilian Marterer est reportée à jeudi en raison de la pluie

Roland garros.

la tour infernale lieu de tournage

À quel point fait-il plus chaud dans votre commune depuis votre naissance ? Faites le test

la tour infernale lieu de tournage

Séparation douloureuse entre Kylian Mbappé et le PSG: le club ne lui aurait pas versé son salaire d'avril

Ligue 1 - football.

la tour infernale lieu de tournage

Officiel : Vincent Kompany entraîneur du Bayern Munich jusqu'en 2027

Bundesliga - football.

la tour infernale lieu de tournage

Axel Witsel, la revanche d’un ex-retraité : "Pas sûr que beaucoup de coaches auraient fait cette démarche"

Diables rouges.

la tour infernale lieu de tournage

"Servus" : en allemand… puis en anglais, Vincent Kompany s’adresse pour la 1e fois aux supporters du Bayern

la tour infernale lieu de tournage

Diables Rouges : de l’équilibre, un grand retour et un peu d’incompréhension

la tour infernale lieu de tournage

Biniam Girmay s’offre le Circuit Franco-Belge dans un sprint de côte

la tour infernale lieu de tournage

Nouveau rebondissement dans la saga Brys au Cameroun : l’entraîneur belge remplacé par un staff intérimaire

la tour infernale lieu de tournage

Roland-Garros – "Calmez-vous, ce n’est que du sport"

la tour infernale lieu de tournage

L’Olympiakos dégoûte la Fiorentina, s’offre la Conference League et écrit l’histoire du football grec

Conference league - foot.

la tour infernale lieu de tournage

David Goffin choqué par le comportement d’une partie du public : "On m’a insulté et craché un chewing-gum"

la tour infernale lieu de tournage

JO 2024 : des migrants et sans domicile fixe "parisiens" envoyés en Belgique ?

On n'est pas des pigeons.

la tour infernale lieu de tournage

Pourquoi le coefficient UEFA des clubs n’aura quasiment plus d’intérêt avec la réforme des Coupes d'Europe ?

Jupiler pro league.

la tour infernale lieu de tournage

"Ils avaient une occasion en or" : Philippe Albert revient sur la saison d’un Anderlecht si proche et si loin du titre

Emission la tribune.

la tour infernale lieu de tournage

Direct vidéo – Roland-Garros : Wawrinka entame une remontada face à Kotov, la majorité des matches reportée à demain

la tour infernale lieu de tournage

Après sa chute au Pays basque, l’heure de la reprise a sonné pour Remco Evenepoel : "Mais il a encore des progrès à faire"

la tour infernale lieu de tournage

Les critiques d’Hugues Dayez : "Club Zéro", une satire qui tourne court

Les critiques d'hugues dayez.

la tour infernale lieu de tournage

Remco Evenepoel "impatient de reprendre la compétition" au Dauphiné, Landa et van Wilder à ses côtés

la tour infernale lieu de tournage

David Goffin chahuté par le public à Roland-Garros, le tournoi réagit

  • Catastrophe
  • Sorties de la semaine
  • Sorties du mois
  • Bandes annonces
  • Box-office FR
  • Box-office US
  • Livre et Roman
  • Bande dessinée

Le film catastrophe ultime : La Tour infernale, ou le début de la fin d’un genre hollywoodien

La Tour infernale, la pure folie hollywoodienne qui a révolutionné le film catastrophe

A lire : Les 30 Meilleurs Films Catastrophe de tous les temps

Ce contenu est réservé aux abonnés

Déjà abonné ? connectez vous ou inscrivez vous

  • Le podcast d'Écran Large : les films catastrophe sont-ils morts et enterrés ?
  • Fall, Mission : Impossible... 10 films qui donnent le vertige

youtube

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

la tour infernale lieu de tournage

Les 10 meilleurs films de boucle temporelle : Un jour sans fin, Edge of Tomorrow, Triangle...

la tour infernale lieu de tournage

Ryan Gosling va revenir en astronaute dans un film de science-fiction spatiale et catastrophe

la tour infernale lieu de tournage

La saga d'horreur la plus frustrante : La Malédiction, du sous-Exorciste au sous-Destination finale

guest

Un classique, et l’un des meilleurs films catastrophes. Et ce casting de folie!

@tlantis

Hocin qui a envie en gros de dire ce qui es déjà dit … lol

La Classe Américaine

@Flash : +1 Epique!

BudSpencer

Un film totalement surréaliste, on y voit un sénateur aider des gens

Geoffrey Crété

Je parle effectivement de la France quand je dis « sorti en 1975 », on donne tout le temps la date française pour s’adresser au public français. Quant au reste sur McQueen/Newman… oui, j’en parle en détail dans l’article 🙂

Oula, merci, je corrige cette coquille

  • Cinéma
  • Musée
  • Jeune public
  • Bibliothèque
  • Infos pratiques

Plan Vigipirate Urgence attentat

En raison des ralentissements liés aux contrôles de sécurité à l’entrée du bâtiment, nous vous conseillons d’arriver 30 minutes avant le début de votre séance, les retardataires ne pouvant être acceptés en salle. Nous vous rappelons que les valises et les sacs de grande taille ne sont pas acceptés dans l’établissement.

La Tour infernale

La Tour infernale The Towering Inferno

Avec Steve McQueen, Paul Newman, William Holden, Faye Dunaway.

Le jour de l'inauguration d'un prestigieux gratte-ciel, l'architecte se rend compte que le constructeur a privilégié les économies aux dépens de la sécurité. Alors que la fête se déroule au sommet de l'immeuble, un câble électrique déclenche un incendie ravageur.

Séances passées

John Guillermin / États-Unis / 1974 / 165 min / DCP / VOSTF

John Guillermin / États-Unis / 1974 / 165 min

  • CinéDweller : page d’accueil
  • Biographies
  • Tous les films
  • Brèves cinéma
  • Les dernières chroniques
  • Les films par distributeur
  •  Musique
  • DVD/Blu-ray/VOD
  • Les films par genre
  • Dossier Porno
  • Les Dossiers
  • Les disparus
  • Les acteurs
  • Les actrices
  • Les réalisateurs

Not a member? Join today

Le cinéma catastrophe sur CinéDweller

Là où  La tour infernale  dépasse de loin ses concurrents dans un genre avare en réussites, c’est que le scénario se fonde sur un événement qui peut toucher n’importe qui à n’importe quel moment. Certes, l’histoire se déroule dans le plus haut building du monde (inspiré du World Trade Center), mais l’accident qui met feu au bâtiment est totalement crédible, de même que toutes les mésaventures qui touchent les nombreux personnages. L’empathie est donc totale envers des êtres humains que le cinéaste a pris le temps de présenter dans les quarante-cinq premières minutes. Les nombreux enjeux psychologiques ne sont ainsi jamais sacrifiés sur l’autel du spectaculaire, tandis que le script évite les traditionnelles effusions sentimentales propres au genre.

https://youtu.be/xRtWbWmwu2U

Parfois effrayant, toujours captivant malgré une durée excessive,  La tour infernale s’impose donc comme une indéniable réussite commerciale. Le casting royal participe bien entendu au plaisir que l’on prend à suivre ces aventures en huis-clos. Si Paul Newman et Steve McQueen imposent une véritable présence physique (ils ont réalisé eux-mêmes la plupart de leurs cascades), on est surtout admiratif du jeu puissant de William Holden et du formidable Fred Astaire qui recevra de nombreux prix d’interprétation pour son rôle dit secondaire.

Les films Warner Columbia sur CinéDweller

Porté par des effets spéciaux qui n’ont pas pris une ride et une musique enthousiasmante de John Williams, La tour infernale est indéniablement un modèle du genre qui a marqué son temps en connaissant un triomphe mérité au box-office international. Avec plus de 116 millions de dollars glanés aux States (pour une mise de départ de 14 millions) et une première place annuelle au box-office français de 1975 (avec 4 466 376 entrées), La tour infernale  a confirmé les espoirs placés dans un genre appelé à sombrer rapidement dans les abysses de la médiocrité.

Critique de  Virgile Dumez

design VOD de La tour inferno (The Towering Inferno)

© MCMLXXIV Twentieth Century Fox Film Corp. & Warner Bros. Inc. Tous droits réservés / All rights reserved

Box-office :

La tour infernale , un blockbuster de 14 millions de dollars, réalisé pour contrer la crise du cinéma et la concurrence de la télévision.

La tour infernale est l’un des triomphes du cinéma, en 1974 aux USA et en 1975 en France. Le film phénomène est coproduit par la Fox et Warner. La 20th Century Fox distribue le blockbuster aux Etats-Unis quand Warner se charge de l’international. Ce blockbuster a pour exigence de contrer la concurrence fratricide de la télévision, avec des images spectaculaires que l’on ne peut apprécier que sur un écran large. Evidemment, les stars au générique sont également appelées à détourner les spectateurs du petit écran.

Aux USA, le film catastrophe produit par Irwin Allen (également co-réalisateur) sort le 16 décembre 1974 afin de profiter des vacances de Noël et lancer le film dans la course aux Oscars. La tour infernale obtiendra pas moins de 8 nominations et décrochera 3 statuettes.

La tour infernale génère localement 22 millions de dollars en trois semaines et demie sur un circuit de 316 écrans. Il finit sa carrière localement à 116M$, l’équivalent de 600 millions de dollars en 2023. C’est un phénomène qui n’appelle pas le producteur à la modestie. Celui-ci ambitionne les plus fortes recettes de l’histoire.

La tour infernale , plus gros carton au box-office français en 1975

Sur notre territoire, le film Warner Columbia trouve sa place en salle le 5 mars, notamment dans 26 cinémas et 15 000 fauteuils à Paris et dans sa périphérie.

En intra-muros, on peut le découvrir par exemple à l’Ermitage, le Publicis Champs Elysées, le Rex, le Paramount Opéra, l’UGC Odéon, l’Arlequin, la Rotonde, le Telstar, le Lux Belleville, le Mistral, le Paramount Montparnasse, le Gaumont Convention, le Passy, le Paramount Maillot et le Moulin Rouge. Avec 18 914 entrées pour son premier jour parisien, The Towering Inferno est un phénomène. 162 494 spectateurs se précipitent pour le voir dans les salles parisiennes pour sa première semaine, dont 25 430 au Paramount Opéra. Il avait fallu 15 jours pour que Tremblement de terre de Mark Robson , avec Charlton Heston et Ava Gardner , puisse réaliser autant d’entrées. Cet Earthquake , distribué par CIC, est un beau succès toutefois avec 2 200 000 Hexagonaux. Il est sorti 3 semaines avant La tour infernale.

Le succès sera conséquent avec plus de 4 466 000 spectateurs, dont un million de Franciliens. Cela permet au film de décrocher une première place annuelle française solide, devant Peur sur la ville ( Belmondo ), On a retrouvé la 7e compagnie ( Lamoureux ), Histoire d’O ( Just Jaeckin ) et Le vieux fusil ( Robert Enrico ).

Après un tel phénomène, place à d’autres cataclysmes pour Irwin Allen

Avec un tel triomphe dans le monde, en particulier au Royaume-Uni où Warner réunira deux fois plus de spectateurs qu’en France, le producteur Irwin Allen décida de multiplier les projets de film catastrophe, persuadé à raison que le filon ne s’épuisera jamais. Il envisage notamment une suite à L’aventure du Poséidon sur les survivants du drame marin, piégé dans les rames d’un train, à la suite d’un éboulement dans un tunnel. Le projet deviendra finalement  Le dernier secret du Poséidon , avec Michael Caine , Sally Field et Telly Savalas et s’écrasera au box-office. Irwin Allen réalisera également The Swarm , alias L’inévitable catastrophe , aux allures de téléfilm de luxe, sur une invasion d’abeilles tueuses en provenance d’Afrique, prenant d’assaut les villes américaines. Le film, avec un script de Stirling Silliphant, scénariste de La tour infernale, coûta une fortune, mais ne laissera pas une grande impression. Pis, les critiques seront assassines.

Box office de Frédéric Mignard

Les sorties de la semaine du 5 mars 1975

La tour infernale, affiche du classique de John Guillermin

© Poster design : Diener-Hauser / Illustration : John Berkey. © MCMLXXIV Twentieth Century Fox Film Corp. & Warner Bros. Inc. Tous droits réservés / All rights reserved

Le blu-ray (édition du 9 juin 2010)

Une édition exceptionnelle, mais qui recèle quand même quelques défauts irritants.

Compléments 3.5 / 5

Si l’éditeur Warner Bros n’a pas lésiné sur les bonus, on peut une fois de plus regretter que le commentaire audio d’un historien du cinéma ne soit toujours pas sous-titré, ce qui le réserve aux seuls anglophones. Par ailleurs, on nous propose environ 13 documentaires d’environ huit minutes chacun qui reviennent en détail sur tel ou tel point de la production. Cela donne environ une heure et quarante minutes d’entretiens divers, d’images d’archives et de tournage : une mine d’informations qui vont de l’écriture du scénario au casting en passant par la collaboration entre Guillermin et Allen et la conception des effets spéciaux. Pour les fans et les courageux, on nous propose également plus d’une demi-heure de scènes coupées ou prolongées afin de mieux comprendre l’évolution psychologique de certains personnages coupés au montage. Si l’on ajoute à cela un teaser et une bande-annonce d’époque, on peut être totalement satisfait par cette imposante section bonus.

Image 4.5 / 5

Le blu-ray 2010 de La tour infernale fait une fois de plus honneur au support en proposant une copie immaculée, tout juste dotée d’un léger grain cinéma. La profondeur de champ est exceptionnelle, la précision est telle qu’aucun recoin de la peau des stars n’aura de secret pour vous, tandis que les couleurs sont resplendissantes et les noirs abyssaux.

Il faut tout d’abord prévenir les amateurs de VF : la piste en simple stéréo qui est proposée par l’éditeur n’est pas celle d’origine, mais un nouveau doublage absolument inacceptable. Honteusement mal jouée et mal intégrée à l’univers sonore du film, cette nouvelle piste ressemble à un doublage de soap opera  et s’avère donc irregardable. Il faudra donc impérativement visionner la piste en anglais disponible en 5.1 DTS-HD Master Audio. Toutefois, si la musique de John Williams a bien été spatialisée et si les explosions font bien vibrer le caisson de basse, les enceintes arrière sont souvent muettes.

Test blu-ray de Virgile Dumez

La tour infernale, blu-ray 2010

Biographies +

John Guillermin , Steve McQueen,  Faye Dunaway,  William Holden,  Paul Newman,  Susan Blakely,  Fred Astaire,  Jennifer Jones,  Richard Chamberlain,  Robert Wagner,  Don Gordon,  Dabney Coleman,  Robert Vaughn, Irwin Allen 

Trailers & Vidéos

trailers

Bande-annonce de La tour infernale

Film catastrophe, Drame, Action

A voir aussi

La Sirène, l'affiche

La Sirène : la critique du film

Jeanne d'Arc, jaquette du blu-ray Artus

Jeanne d’Arc : la critique du film de Gustav Ucicky

Furiosa : une saga Mad Max, l'affiche

Furiosa : Une saga Mad Max – la critique du film

La Tour infernale

REALISATION : John Guillermin , Irwin Allen PRODUCTION : Twentieth Century Fox , Warner Bros AVEC : Paul Newman , Steve McQueen , William Holden , Faye Dunaway , Fred Astaire , Richard Chamberlain , Susan Blakely , Jennifer Jones , O.J. Simpson , Robert Vaughn , Robert Wagner , Susan Flannery SCENARIO : Stirling Silliphant PHOTOGRAPHIE : Fred J. Koenekamp , Joseph F. Biroc , Jim Freeman MONTAGE : Carl Kress , Harold F. Kress BANDE ORIGINALE : John Williams ORIGINE : Etats-Unis GENRE : Action , Catastrophe , Drame DATE DE SORTIE : 5 mars 1975 DUREE : 2h45 BANDE-ANNONCE

Le fleuron indétrônable du cinéma catastrophe. Souvent copié, jamais égalé, et enrichi avec autant de stars hollywoodiennes – Steve McQueen et Paul Newman en tête – que de niveaux de lectures.

Existe-t-il véritablement un genre cinématographique plus ingrat que les autres ? On laissera aux cyniques finis et aux aigris aveuglés par leurs préjugés le soin de répondre par l’affirmative. Tout genre, aussi mineur puisse-t-il être considéré, a connu ses moments de gloire qui lui ont permis d’imprimer l’inconscient collectif à défaut de faire l’unanimité critique. Et même si nous nous faisons un point d’honneur sur ce site à ne jamais laisser rien ni personne sur le bord de la route (y compris quand il s’agit de délivrer une argumentation négative sur un film en particulier), force est de constater que l’un des genres les plus sous-estimés, à savoir le film catastrophe, n’a pas souvent eu voix au chapitre. Quitte à réparer cette erreur, autant en profiter pour s’intéresser à son Everest, à son Burj Khalifa, à son sommet indétrônable – et on ne tient pas compte du Titanic de James Cameron dans la mesure où il relève plus de la romance dramatique que du film catastrophe. Souvent copié mais jamais surpassé ni même égalé, La Tour infernale n’a certes pas de quoi faire varier la recette-miracle du genre dont il n’a jamais cessé d’être le maître-étalon. Pour faire simple, disons que tout se résume là encore à observer l’instinct de survie et de sacrifice d’une poignée d’individus – en général joués par des stars – confrontés à un désastre qui cause des dégâts exponentiels. Une équation simple, voire simpliste pour certains. Une innovation narrative très limitée, voire inexistante pour certains. Sauf que voilà, un argument de scénario qui tient en une ligne n’est pas privé d’acquérir une ampleur démesurée. Et avec un budget pharaonique pour l’époque, un parterre de méga-stars à faire bander n’importe quel journaliste people, un tandem de solides réalisateurs aux commandes de la chose et deux très gros studios d’Hollywood pour superviser tout le bazar, un genre supposé mineur aura fini par accoucher d’un film confirmé majeur.

Tout le mérite de ce triomphe en revient au producteur Irwin Allen, intronisé roi du genre depuis L’Aventure du Poseïdon de Ronald Neame en 1972. C’est deux ans après ce premier gros succès – et surtout au moment même où le World Trade Center achève sa construction à New York – que le bonhomme se chope une folie des grandeurs carabinée. Son idée ? Acquérir les droits de deux romans intitulés The Tower et The Glass Inferno pour demander au scénariste Stirling Silliphant de les fusionner en un seul et même scénario, et réunir un budget colossal de 14 millions de dollars en engageant la crème de la crème – acteurs et techniciens – et en proposant à la Twentieth Century Fox de collaborer à part égale avec la Warner. Seul son désir de réaliser seul ce giga-spectacle rencontrera un mur, ce qui le poussera à se concentrer sur la réalisation des scènes pyrotechniques et à confier les scènes dialoguées à un solide artisan de la série B, John Guillermin, qui signa le puissant Rapture en 1965 et qui sombrera par la suite avec un minable remake de King Kong en 1976. Et pour ajouter encore au poids de la logistique, l’indécrottable Steve McQueen en profitera pour jouer les divas, exigeant de jouer le personnage le plus héroïque du film et d’avoir le même nombre de répliques que son partenaire starisé Paul Newman. C’est d’ailleurs là que l’on se permettra de relever le seul et unique grain de sable de cet engrenage maxi-friqué : malgré le charisme naturel et minéral de la star de Guet-Apens , le relief de ce pompier tenace égale celui d’une utilité narrative, donc à contre-courant de la logique émotionnelle qui irrigue tout le projet – c’est clairement Paul Newman qui domine tout le film là-dessus. Rien de bien gênant, ceci dit, puisque le triomphe critique et public sera au rendez-vous, inaugurant de ce fait une longue lignée de films du même style mais pas du même acabit.

Si l’on s’en tient à la seule maîtrise des codes du film catastrophe, la stratégie adoptée par John Guillermin et Irwin Allen s’avère on ne peut plus redoutable, cochant une à une toutes les cases de la narration limpide à souhait. Sur la base d’un script élémentaire qui transforme le plus haut gratte-ciel du monde en un incontrôlable piège de feu, Guillermin construit une œuvre avant tout topographique qui se concentre uniquement sur l’évolution de (et dans) son décor, qui en fait le moteur d’une progression narrative pare-feu et qui se déleste du moindre bout de gras. Pas d’humour décontracté ici, mais un événement traité au premier degré dans le but – revendiqué dès le générique – de rendre hommage au travail des sauveteurs et des pompiers. Pas d’invraisemblances grossières à relever, mais un désir de réalisme et de crédibilité à toute épreuve, tant sur les dégâts produits que sur les enjeux plus intimes. Pas de racolage starisé dans le seul et unique but de faire péter une affiche, mais un vrai casting d’acteurs talentueux et de pointures internationales, bénéficiant tous de rôles habités avec des arcs narratifs qui trouvent une résonance au cœur de la catastrophe. Pas de manichéisme dans le tracé psy de tel ou tel personnage, mais une volonté de puiser de l’empathie pour chaque caractère, y compris chez celui que l’on aura tôt fait de désigner comme le « salaud » de l’intrigue : en effet, ce personnage de gendre infidèle et arriviste joué par Richard Chamberlain finit par être autant pion du destin que les autres, réussissant même à exhaler un désir d’indépendance contrarié au travers de quelques scènes.

Tout cela suffit à dessiner les plans d’une construction scénaristique en béton armé, utilisant les isolants les mieux adaptés pour faire passer son insoutenable crescendo dramatique et enfiler une à une les scènes chocs. Asphyxie d’un couple adultère dans une chambre cachée, décrochage brutal d’un ascenseur, câble chahuté pour une évacuation entre deux immeubles, chutes en cascade du 121ème étage, etc… Bref, la totale. Infusé par une mise en scène qui ne commet aucun impair, le suspense ne souffre alors d’aucune inégalité de rythme en adoptant lui-même la progression d’un feu. Ça démarre en douceur par l’effet d’annonce le plus évident (un long générique de début héliporté qui ne cesse de retarder l’apparition tant attendue du building), ça ne perd pas de temps pour lancer les festivités (le feu démarre à la 12ème minute !) et ça ne s’arrête que lorsque le générique de fin surgit en guise de porte coupe-feu. D’aucuns n’hésiteront pas à juger la durée excessive (2h45, tout de même !) là où le récit prend au contraire le temps d’installer, d’imbriquer et d’équilibrer toutes ses sous-intrigues. Même ce qui aurait pu passer pour un trop-plein d’effusions sentimentales n’a rien d’une pièce ajoutée qui encombrerait la progression narrative. C’est au contraire la pièce maîtresse d’un genre qui, sans son facteur humain et intimiste, ne se résumerait qu’à un déluge pyrotechnique sans âme. Quant au casting lui-même, lequel réunit encore aujourd’hui LA distribution la plus prestigieuse jamais vue sur un écran (prenez les deux acteurs les mieux payés du monde et entourez-les d’une bonne douzaine de stars à gros cachet !), il devient lui aussi le sujet d’un suspense parallèle, sorte de body-count à la fois honteux et jouissif, qui consiste à passer tout le film à parier sur ceux et celles qui vont s’en sortir ou passer à trépas, et dans quel ordre.

On ne résiste pas non plus à reconnaître la connexion avec le mythique Piège de cristal . En effet, une décennie avant le classique de John McTiernan, tout était déjà à l’œuvre dans La Tour infernale : le building gigantesque, la fête tragiquement interrompue, les déambulations non-stop dans les dédales vertigineux de l’immeuble, la tentative avortée de fuite par le toit, le crash d’un hélicoptère, les chutes dans le vide, sans oublier la présence d’un individu qui tente d’empêcher à tout prix le feu de lui ravir son statut du maître des lieux. La différence, c’est que ce dernier – joué par un Paul Newman irréprochable – ne peut que choisir la défense comme seule attaque, réduit à une posture de sauveteur dépassé et impuissant face à la progression de son ennemi dans un labyrinthe de verre. Rescousses et stratagèmes forment donc la matrice du scénario, ici épaulée par de foudroyants effets spéciaux qui n’ont pas pris une seule ride – revoir le film en Blu-Ray permet d’en prendre toute la mesure – et qui font grimper jusqu’au bout la sensation d’urgence. Face à cela, les caractères piégés au sommet de cette « tour de verre » (c’est le nom de l’immeuble) n’ont donc qu’à s’agiter le plus possible pour épouser cette montée de tension, et c’est bel et bien le facteur sentimental qui permet cela. On recense ici un grand nombre de relations amoureuses, avec tout ce que cela suppose de pépins conjugaux (Newman/Dunaway, Chamberlain/Blakely), de piments extraconjugaux (Wagner/Flannery) ou de romances en gestation (Astaire/Jones). Mais c’est bien l’inimitié entre Richard Chamberlain et William Holden qui pèse lourd ici. En effet, le promoteur et son gendre électricien, tous deux désignés comme les seuls vrais responsables du désastre, ne se renvoient pas leur culpabilité de la même façon : le premier tente de se dédouaner par seul et unique souci de se libérer de l’influence du second, tandis que ce dernier reconnait ses erreurs et s’isole dans l’abattement le plus complet dès l’apparition du premier cadavre en feu. Coincé en plein centre de ce tennis de culpabilité, le personnage de Paul Newman se contente de faire l’arbitre et de compter les… cadavres.

Ne pas s’y tromper : aussi fun soit-il, La Tour infernale est avant tout un pur film d’effroi qui enfile les scènes suffocantes comme des perles. A ce titre, si vous pensiez ne plus être horrifié ou impressionné par un corps en feu, c’est le moment d’aller vérifier. Sans doute parce que la paire Guillermin/Allen a visé le réalisme le plus maximal, en particulier dans des cascades où Newman et McQueen mettent toutes leurs aptitudes physiques à contribution. Sans doute aussi parce que le film, à l’instar de bien d’autres conçus dans les années 70, se veut la traduction symbolique d’un malaise sociologique ancré dans son époque – voilà bien un point fort à mettre au crédit du film catastrophe. Celui d’une société capitaliste qui vise trop haut au détriment de la sécurité de ses membres ? Allons un peu plus loin. Histoire d’aller dans le sens de certaines exégèses qui ont pu être faites dans le passé, on reconnaîtra au film un sous-texte tordu – mais assez tangible – sur la frustration sexuelle américaine. Déjà facilement assimilable à une nouvelle tour de Babel qui défie égoïstement le ciel californien avant de récolter la colère des dieux, cette fragile tour de verre est aussi une création phallique à ciel ouvert, dont l’architecture quasi érectile se révèle à la fois trop forcée et pas assez « pointue ». Et le désastre est entièrement dû à un coureur de jupons, incapable de contrôler sa libido, et prêt à fermer les yeux sur la qualité pauvre d’un câblage électrique en échange d’un pot-de-vin conséquent. Vu que le film ne cesse de paralléliser les dégâts d’un incendie avec des histoires de cul plus ou moins difficiles, le tout contemplé de haut par un vieil Icare solitaire et incapable de panser tant de brûlures fatales, on vous laisse en tirer les conclusions. Et comme la lecture mythologico-sexuelle est de rigueur, il est donc logique qu’un violent déluge d’eau soit la seule force capable d’éteindre in fine cet incendie. Viser trop haut, trop long et trop vertical n’est que le préliminaire à une tragique débandade. Le film, lui, ne fait jamais cette erreur : horizontal dans sa narration et diagonal dans son suspense, il trace un plan carré. Et donc parfait. Du bas vers le haut.

Articles similaires

Laisser un commentaire annuler la réponse., lire les articles précédents :.

la tour infernale lieu de tournage

Les Confins du monde

REALISATION : Guillaume Nicloux PRODUCTION : Ad Vitam, Ce Qui Me Meut, Les Films du Worso, Orange Studio AVEC :...

Logo Télérama

  • Programme Tv
  • Plateformes
  • Radio & Podcasts
  • Restos & Loisirs

Accès rapide

  • Programme TV
  • Nos derniers articles

Mode sombre

Avantages abonnés

  • Télérama Sorties
  • Mots croisés
  • Télérama Boutique
  • L’application Télérama
  • La communauté Vodkaster
  • Faim et climat : même combat !
  • La billetterie

la tour infernale lieu de tournage

Offre spéciale pendant 1 an

Offre exclusive : 0,99€ par mois pendant 6 mois

  • Écrans & TV

“La Tour infernale” brûle à nouveau sur Arte : retour sur un tournage… infernal !

Batailles d’ego entre steve mcqueen et paul newman, coups fourrés des studios et incendie bien réel : la production du célèbre film catastrophe sorti en 1974 a vraiment failli tourner au désastre..

Steve McQueen et Paul Newman dans « La Tour infernale ». Alliées dans le film, les deux stars étaient de féroces rivaux en dehors des plateaux.

Steve McQueen et Paul Newman dans « La Tour infernale ». Alliées dans le film, les deux stars étaient de féroces rivaux en dehors des plateaux. 20th Century Fox

Par Julien Welter

Réservé aux abonnés

Publié le 30 avril 2023 à 20h00

  • X (ex Twitter)
  • Envoyer par email
  • Copier le lien

T out le monde, ou presque, se souvient de La Tour infernale (1974) et de son gratte-ciel, le plus haut du monde, qui le soir de son inauguration brûle soudain comme une torche en raison d’un incendie provoqué par négligence. Voilà les riches convives pris au piège, au dernier étage. La suite en appelle à une formule éprouvée par le maître du genre, le producteur-réalisateur Irwin Allen : des effets spéciaux sophistiqués (pour l’époque) et un récit au premier degré, dédié à l’instinct de survie et de sacrifice d’une poignée d’individus ordinaires, joués par des stars.

Ce qu’Allen n’a pas prévu, c’est qu’en raison du triomphe de son précédent film catastrophe, L’Aventure du Poséidon

Offre spéciale 9,90€ 3,99€/mois

pendant 1 an, sans engagement

Déjà abonné ? Se connecter

  • Le film du dimanche soir

Cher lecteur, chère lectrice, Nous travaillons sur une nouvelle interface de commentaires afin de vous offrir le plus grand confort pour dialoguer. Merci de votre patience.

la tour infernale lieu de tournage

Le magazine en format numérique

Les plus lus

  • On a classé tous les films de David Fincher, du pire au meilleur
  • “Love, Death & Robots” : “Jibaro”, l’hallucinatoire épisode qui met le monde en transe
  • L'étrange histoire de Benjamin Button

Suggestions

  • Sorties cinéma
  • Derniers articles
  • Nos recommandations plateformes
  • Dernières critiques de livres
  • Les 50 meilleures séries de tous les temps
  • Dernières critiques de musique
  • Théâtre et expositions
  • Les 100 meilleurs films de l’histoire
  • Où manger à Paris
  • La BDthèque idéale

Offre spéciale : 9,90€ 3,99€/mois pendant 1 an

Vous avez choisi de ne pas accepter le dépôt de "cookies" sur votre navigateur, qui permettent notamment d'afficher de la publicité personnalisée. Nous respectons votre choix, et nous y veillerons. Chaque jour, la rédaction et l'ensemble des métiers de Télérama se mobilisent pour vous proposer sur notre site une offre critique complète, un suivi de l'actualité culturelle, des enquêtes, des entretiens, des reportages, des vidéos, des services, des évènements... Qualité, fiabilité et indépendance en sont les maîtres mots. Pour ce faire, le soutien et la fidélité de nos abonnés est essentiel. Nous vous invitons à rejoindre à votre tour cette communauté en vous abonnant à Télérama. Merci, et à bientôt.

  • Par catégories
  • Danse avec les stars
  • Amour, gloire et beauté
  • Les feux de l'amour
  • Ici tout commence
  • Demain nous appartient
  • Un si grand soleil
  • Miss France
  • Programme TV
  • Téléréalité
  • Série TV
  • Société
  • Programme TF1
  • Programme France 2
  • Programme France 5
  • Programme M6
  • Programme TNT
  • Voir toute la rubrique
  • C à vous
  • 12 coups de midi
  • N'oubliez pas les paroles
  • Toutes les émissions
  • L'amour est dans le pré
  • Les Marseillais
  • Danse avec les Stars
  • Plus belle la vie
  • Toutes les séries TV
  • Jeux Olympiques
  • Tour de France
  • Coupe du Monde de Foot
  • Euro de Football
  • Roland Garros
  • Autres sports
  • Témoignages
  • Faits Divers
  • Vie Quotidienne
  • Téléstar

La Tour infernale : l'incendie du film a-t-il vraiment eu lieu ?

Clément Machetto

Clément Machetto

À l'occasion de la diffusion du film culte La Tour infernale dimanche 30 avril 2023, à partir de 20h55 sur Arte, Télé Star vous dévoile si l'incendie visible dans ce long-métrage s'est réellement produit ou pas.

L'irrésistible Corinne Masiero campe une Capitaine Marleau haute en couleur.

Capitaine Marleau : toutes les infos sur le retour  de la série 

Marleau reprend du service sur France 3, mardi 17 avril, 20h50. Corinne Masiero n'a pas fini de surprendre dans les nouveaux épisodes qui s'annoncent.

Audrey Crespo-Mara est le joker officiel d'Anne-Claire Coudray à la présentation du JT de 20h de TF1

JT de 20H de TF1 : pourquoi Audrey Crespo-Mara ne lorgne surtout pas la place d'Anne-Claire Coudray

Joker officiel d'Anne-Claire Coudray à la présentation du JT de 20h de TF1 le week-end, Audrey Crespo-Mara n'a pas pour ambition de succéder à sa consœur en tant que présentatrice titulaire. Elle en a expliqué les raisons dans le Buzz TV du Figaro.

Jean-Pierre Pernaut dans le journal de 13h sur TF1 le 16 mars 2020

Jean-Pierre Pernaut confiné : pourquoi vous le verrez quand même tous les jours à l'antenne

Pour lutter contre l'épidémie de coronavirus, Jean-Pierre Pernaut, la star du JT de 13h de TF1, a annoncé qu'elle resterait chez elle pendant une semaine et qu'elle ne présenterait plus le journal. Jacques Legros l'a remplacé au pied levé mais il sera toujours présent à l'antenne.

La Tour infernale : l'incendie du film a-t-il vraiment eu lieu ?

Sorti au cinéma en 1974, le film intitulé La Tour infernale , porté par Steve McQueen, Paul Newman, William Holden, Faye Dunaway , Fred Astaire, Susan Blakely, Richard Chamberlain, Jennifer Jones, O. J. Simpson, Robert Vaughn et Robert Wagner , sera rediffusé dimanche 30 avril 2023, à partir de 20h55 sur la chaîne franco-allemande Arte. Réalisé par John Guillermin et Irwin Allen , ce long-métrage met en scène le personnage de Douglas "Doug" Roberts, incarné à l'écran par Paul Newman . Cet architecte revient à San Francisco pour l'inauguration du plus grand gratte-ciel du monde (510 m) qu'il a lui-même conçu.

Un court-circuit se produit, résultant d'un échauffement de câbles électriques non isolés , situés dans un local technique au 81ème étage, dont la cause est une installation électrique insuffisamment dimensionnée pour un tel bâtiment, en raison d'économie d'argent sur la construction , sans tenir compte des recommandations de l'architecte. Un incendie se déclare donc dans ce local technique au moment même où la cérémonie bat son plein au 135ème étage de l'immeuble . Alors que le feu se propage, détruisant tout sur son passage, Michael O'Hallorhan, colonel des sapeurs pompiers, interprété par Steve McQueen , tente de sauver les 300 invités qui se sont retrouvés piégés par les flammes.

La Tour infernale : deux romans à l'origine du scénario de ce film

Le scénario de ce film est en fait la synthèse de deux romans : The Tower, de Richard Martin Stern, et The Glass Inferno , de Thomas N. Scotia et Frank M. Robinson. Ces derniers ont été inspirés par la construction du World Trade Center au début des années 1970, et par ce qui pourrait arriver si un incendie important éclatait dans un gratte-ciel de ce genre. À la suite du succès de L'Aventure du Poséidon , la Warner achète les droits de The Tower pour 390.000 dollars . Huit semaines plus tard, Irwin Allen de la 20th Century Fox achète ceux de The Glass Inferno pour 400.000 dollars. Pour éviter que les deux films n'entrent en compétition au box-office, les deux sociétés de production s'associent pour faire un film unique et payent chacune la moitié des coûts de production . Elles signent un contrat donnant à la Fox les recettes du film aux États-Unis et à la Warner celles provenant du reste du monde. Le scénariste Stirling Silliphant fusionne alors les deux romans afin de créer le scénario.

Partager l'article

Clément Machetto

  • Isild Le Besco accuse Benoît Jacquot : elle en appelle à la police, mais n’a pas confiance
  • Euro 2024 : qui est Sabrina Delannoy, qui remplace Youri Djorkaeff sur TF1 ?
  • Richard Berry : accusé de violence par son ex-compagne, ses graves accusations dans TPMP

RÉAGISSEZ Annuler la réponse.

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Pour laisser votre commentaire, veuillez cocher cette case svp. Recevez ensuite toute l'actu Télé Star dans votre boite mail et les offres des partenaires.

la tour infernale lieu de tournage

Pourquoi avoir saccagé ce magnifique film avec une nouvelle bande son insipide : les voix sont ridicules, les dialogues sont différents, la musique de fond n’est plus la même, c’est un véritable gâchis c’est impardonnable !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Vous aimerez aussi

Kinds of kindness bientôt au cinéma

Kinds of Kindness : quelle est la date de sortie du film avec Jesse Plemons, Emma Stone et Willem Dafoe primé à Cannes ?

Après Pauvres créatures, Emma Stone revient au cinéma dans Kinds of Kindness. Quand pourra-t-on voir le film primé à Cannes cette année ?

Emilia Perez, le nouveau film de Jacques Audiard

Emilia Perez : quelle est la date de sortie du film de Jacques Audiard deux fois primé à Cannes ?

Après son sacre au Festival de Cannes, Emilia Perez sort bientôt au cinéma. Quand verra-t-on le film de Jacques Audiard en salles ?

La métamorphose de Pierre Niney

Pierre Niney méconnaissable : comment il a berné ses propres parents dans le Comte de Monte-Cristo

Les parents de Pierre Niney n'ont pas reconnu leur fils dans Le Comte de Monte-Cristo. Voici comment l'acteur s'y est pris.

Jamie Bell incarnait le personnage de Billy Eliott

Billy Elliot : le film est-il inspiré d'une histoire vraie ?

Le film Billy Eliott avait rencontré un succès phénoménal lors de sa sortie en 2000. Il s'inspire en partie de l'histoire d'un danseur britannique...

  • 20th Century
  • Anciens labels
  • Blue Sky Studios
  • Téléfilms Disney
  • Séries Disney
  • Émissions Disney
  • Docus National Geographic
  • Séries National Geographic
  • Séries 20th Century
  • Disney On Broadway
  • Disney On Ice
  • Disney Live !
  • Personnages
  • Clins d’oeil
  • Dossier Disney
  • Dossiers Pixar
  • Dossier Marvel
  • Dossiers Lucasfilm
  • Dossiers 20th
  • Dossiers Disneyland
  • Bandes originales
  • Jeux vidéo Disney
  • Sorties ciné/Disney+
  • Horaires Disneyland
  • Attractions fermées
  • Anniversaires

logo disney planet

La tour infernale.

affiche poster tour infernale towering inferno disney fox

Réalisateur : John Guillermin. Scénariste : Stirling Silliphant. Producteur : Irwin Allen et Sidney Marshall. Compositeur :  John Williams. Société de production : 20th Century Fox, Warner Bros., Irwin Allen Productions et United Films.. Distributeur : 20th Century Fox. Première USA : 10 décembre 1974 (New York). Sortie USA : 20 décembre 1974. Sortie française : 5 mars 1975. Titre original : The Towering Inferno. Durée : 2h45. Budget :  14 millions de dollars. Recette mondiale :  Inconnue. Recette USA :  116 millions de dollars. Entrées françaises : 4 466 376 entrées.

Lors de la soirée d’inauguration de son nouveau gratte-ciel, l’architecte Douglas va voir sa création prendre feu, piégeant 300 personnes à l’intérieur.

En 2000, le film connait une autre version française.

Douglas « Doug » Roberts : Paul Newman (VF : Marcel Bozzuffi / Patrick Floersheim). Michael O’Hallorhan : Steve McQueen (VF : Jacques Thébault / Hervé Bellon). Jim Duncan : William Holden (VF : Jean Martinelli / Bernard Woringer). Susan Franklin : Faye Dunaway (VF : Perrette Pradier / Véronique Augereau). Harlee Claiborne : Fred Astaire (VF : Claude Dauphin / Roger Carel). Patty Simmons : Susan Blakely (VF : Béatrice Delfe / Véronique Desmadryl). Roger Simmons : Richard Chamberlain (VF : Dominique Paturel / Thierry Wermuth). Lisolette Mueller : Jennifer Jones (VF : Monique Mélinand / Françoise Pavy). Harry Jernigan : O. J. Simpson (VF : Sady Rebbot / Adrien Antoine). Gary Parker : Robert Vaughn (VF : Roger Rudel / Guy Chapellier). Dan Bigelow : Robert Wagner (VF : Jean-Claude Michel / Jérôme Keen). Lorrie : Susan Flannery (VF : Marion Loran / Emmanuèle Bondeville).

affiche poster tour infernale towering inferno disney fox

En savoir plus.

La tour infernale est l’adaptation des romans The Tower par Richard Martin Stern (publié en 1973) et The Glass Inferno par Thomas N. Scortia et Frank M. Robinson (publié en 1974). Chaque livre traite d’un gratte-ciel en flammes.

Chose surprenante, deux majors d’Hollywood sont au générique : 20th Century Fox et Warner Bros. Ceci s’explique par l’achat des droits d’adaptation des livres. La Warner a acheté ceux du premier, la Fox ceux du second. Pour éviter une sortie frontale, ils ont fusionné les histoires en un seul, se partageant le budget. En terme de recettes, la Fox se base sur le box-office américain et la Warner le box-office du reste du monde.

image tour infernale towering inferno disney fox

À l’origine, Steve McQueen devait jouer l’architecte.

Sean Connery et Charlton Heston ont été envisagés pour le rôle du chef O’Halloran.

Steve McQueen et Paul Newman était les deux grandes célébrités du cinéma de l’époque. De ce fait, chaque acteur devait avoir le même nombre de lignes de dialogues. Concernant l’affiche du film, les noms sont en décalés pour être lisible soit de haut en bas ou bien de gauche à droite, donnant ainsi l’un ou l’autre comme premier de lecture.

image tour infernale towering inferno disney fox

Pour les plans d’ensemble, la tour est une maquette. Quant à la salle de réception, elle a coûté 300 000 dollars.

Le tournage s’est déroulé de mai à septembre 1974 en Californie.

Notre critique de La tour infernale .

Les films catastrophes au cinéma, en général ça passe bien même si ça ne reste pas sensationnel. Pourtant ici, il y a de sacrés réunions.

image tour infernale towering inferno disney fox

Tout d’abord, la réunion de deux grands studios du cinéma : 20th Century Fox et Warner Bros. On se doute qu’on va avoir droit à un long-métrage qui va avoir une sacré ampleur. Ce qui est le cas dirons-nous. Mais on y reviendra. Commençons tout d’abord par le scénario qui n’est pas extraordinaire. Déjà, il faut compter presque 45 minutes de mise en place des personnages et de l’intrigue avant que ne se déclenche l’incendie. C’est long et limite ennuyeux. En revanche, on soulignera que cela permet de dénoncer les fabrications à bas coûts pour faire des économies au profit de la sécurité.

Une fois l’incendie déclaré, on entre enfin dans le film catastrophe qui va répondre à tous les codes du genre. Actes de bravoures, personnes paniquées, personnes égoïstes, enfants en danger, femmes à sauver… tout y passe. Si on prend du recul, on se rend compte aussi qu’il ne se passe pas grand chose d’époustouflant. On a droit à de l’action, certes, mais il manque quand même quelque chose pour se démarquer vraiment. L’histoire est trop classique avec des éléments prévisibles. Cependant, il faut remarquer que ce n’est pas un film « tout public ». En effet, La tour infernale n’y va pas par quatre chemins et les morts sont bien visibles, que ce soit les brûlés ou les personnes tombant dans le vide. C’est percutant mais ça montre la dangerosité de la situation.

image tour infernale towering inferno disney fox

Autre grande réunion : Paul Newman et Steve McQueen. Avec une telle affiche, on sait qu’on joue dans la cour des grands. McQueen est quand même bien plus remarquable et convaincant que Newman qui manque d’expression. Le premier incarne le commandant de pompiers qui va devoir gérer cette crise d’envergure. Il se veut courageux mais ça reste son travail tout en devant assurer la sécurité des gens et de ses équipes. Pourtant, on a l’impression de peu le voir dans le film au contraire du second. Newman interprète l’architecte du bâtiment qui se la joue grand héros à tenter de sauver tout le monde à travers ses actes parfois assez fous. On n’arrive pas à s’attacher à lui.

Du côté des personnages secondaires, il y a aussi de grands noms du cinéma. On retiendra surtout le propriétaire de l’hôtel qui se rend compte de la situation et qui ne tient pas à fuir ses responsabilités, faisant face comme il le devrait. À l’inverse de son gendre qui a cherché à faire des économies et qui se veut comme la personne à détester dans le film. Imbu de lui-même et ne pensant qu’à lui, il incarne bien l’antagoniste. Dommage que les rôles féminins soient si relayés au second plan alors que la fille de Duncan comme l’épouse de Doug avaient du potentiel.

image tour infernale towering inferno disney fox

Revenons en à ce qu’on disait au début. Fox et Warner, cela donne un film avec beaucoup de moyens. Déjà par des décors variés et propres, même s’il faut se remettre dans la mode visuelle de l’époque (bonjour les murs oranges). Aussi, par des effets visuels de qualité pour les années 1970. Que ce soit les scènes aériennes que les cages d’ascenseur qui n’en finissent plus, on arrive à être immergé. Ensuite, l’incendie se veut bien dangereux et rappelle sans cesse sa présence. Si on devait mettre un bémol, c’est sur les multiples explosions qui font sauter tout un étage, histoire que visuellement ça en jette. Le pire étant vers le début de l’incendie, quand seule une partie d’un étage est en proie aux flammes et qu’une vue de l’extérieur de l’immeuble montre deux étages ravagés par l’incendie qui en plus sont séparés de plusieurs niveaux sans explication. Concernant la bande originale, John Williams est bien décevant et ne propose rien de particulier. Pour conclure, certaines scènes du film tirent trop en longueur et plus de rythme aurait pu être donné en raccourcissant la durée du long-métrage.

La tour infernale est un bon film catastrophe mais ne parvient pas à proposer quelque chose de grandiose.

Vous pourriez être intéressés :

bande originale soundtrack ost score tour infernale towering inferno disney fox

SUIVEZ-NOUS

Facebook - X Contactez-nous - Mentions légales

NOTRE AUTRE SITE

CinéFilms-Planet.Fr  :  les critiques de films d'hier et d'aujourd'hui.

  • Tout le programme TV
  • Toutes les chaines
  • Câble - Adsl - Satellite
  • Films à la TV
  • Le guide Netflix
  • Le guide Prime Video
  • Le guide des chaînes Canal+
  • Toutes les news
  • Tous les événements
  • Mon petit renne (Netflix)
  • The Voice 2024
  • Secret Story 2024
  • Fiasco (Netflix)
  • Terminal (Canal+)
  • Koh-Lanta, les chasseurs d'immunité
  • Pékin Express, saison 18
  • Mask Singer 2024
  • Toutes les séries
  • Top 50 Séries
  • Séries à la télé
  • La Casa de papel
  • Stranger Things
  • Plus belle la vie
  • Grey's Anatomy
  • Demain nous appartient
  • Tout le cinéma
  • Sorties cinéma
  • Prochainement
  • Tous les films
  • Toutes les vidéos
  • Tous les podcasts
  • À la demande
  • Previously : Les séries cultes
  • Yakoi en audiodescription
  • Parents d'abord
  • Les séries en questions
  • Femmes de Télé
  • Tout le sport
  • Toutes les stars
  • Top 100 Stars
  • Programme TV

La Tour infernale (Arte) : quel film catastrophe culte est à l'origine de ce classique ?

Le 30/04/2023 à 19:30 par Olivier Rajchman

Player Video

Ce dimanche 30 avril 2023 à 20h50, Arte diffuse un classique du film-catastrophe : La Tour infernale , avec Paul Newman et Steve McQueen. Un film produit comme un blockbuster et qui fait suite à un énorme succès... Télé-Loisirs vous explique.

Réalisé en 1974, La Tour infernale , diffusé ce dimanche 30 avril 2023 à 20h50, sur Arte, est le prototype du film-catastrophe. Mis en scène avec de grands moyens par John Guillermin , ce récit au suspense savamment dosé, composé d'une pléiade d'acteurs de renommée internationale, était calibré pour faire un carton au box-office... Ce qui fut le cas. Comment résister au charisme des deux plus grandes stars masculines de l'époque : le héros de Luke la main froide et de Butch Cassidy et le Kid , Paul Newman , et celui de La Grande évasion et de Bullitt , Steve McQueen ? Surtout lorsqu'ils sont accompagnés par l'impressionnante Faye Dunaway , le bouleversant Fred Astaire et l'impeccable William Holden ! La recette de La Tour infernale ne doit rien au hasard...

Ô mon bateau !

Cette superproduction des années 1970 est mise en scène par John Guillermin, qui réalisera par la suite un remake de King Kong , mais un autre homme joue un rôle plus essentiel dans la confection de la Tour infernale . Co-réalisateur (notamment des scènes d'action) du film, Irwin Allen en est avant tout le producteur et maître d'oeuvre. Propriétaire d'une agence de publicité, à l'initiative de quelques petits films-cultes à la fin des années 1950, connu dans les années 1960 pour avoir lancé de mythiques séries télévisées, de Perdus dans l'espace à Au coeur du temps , Allen revient au cinéma au début des années 1970. Décidé à réaliser un film catastrophe à grand spectacle, il réunit plusieurs acteurs célèbres, de Gene Hackman à Shelley Winters, et confie à Ronald Neame la réalisation de L'Aventure du Poseidon , sorte de Titanic moderne, qui s'intéresse longuement à des personnages auxquels le public prend le temps de s'identifier. Avec cette interrogation, angoissante : lequel va mourir ou lequel va survivre, lors du naufrage du bateau ? Au final, le film va rester 12 semaines au sommet du box-office et, totalisant 40 millions de dollars de recettes, devenir le plus gros succès cinématographique de l'année 1973. C'est cette formule, boostée par davantage de moyens, que va vouloir resservir le même Allen, en 1974, avec La Tour infernale . Avec encore plus de stars - une dizaine - et d'effets spéciaux.

D'une tour à l'autre

Pour Irwin Allen, le film est un nouveau triomphe, lequel engrange 48.838.000 $ de dollars de recettes aux Etats-Unis et au Canada. La Tour infernale bat aussi des records à l'international et devient l'un des plus gros succès au box-office en 1975. Décidé à exploiter jusqu'au bout le filon, Allen va produire, dans les années qui suivent, d'autres films-catastrophe dont la qualité ne va cesser de décroître, jusqu'aux médiocres Le dernier secret du Poseidon et Le Jour de la fin du monde . Le producteur cesse ses activités en 1986. Deux ans plus tard, sort sur les écrans Piège de cristal , de John McTiernan. Un film qui se passe dans une tour, dont les occupants sont victimes d'une prise d'otage et où l'on prend soin de présenter les personnage - afin d'être en empathie avec eux. Une oeuvre dont le héros est un inspecteur de police -incarné par Bruce Willis - au lieu d'un capitaine des pompiers - Steve McQueen dans La Tour infernale - ; où un personnage absolument détestable - comme dans le classique de 1974 - est à l'origine du drame survenu dans la tour. Avec, au bout du compte, le sauveur hyper cool qui évitera un bain de sang pour la majorité des protagonistes... On voit bien que dans la chaîne des films-catastrophes, La Tour infernale fut un maillon essentiel ; l'aboutissement des précédents... et la matrice de ceux qui devaient suivre.

L’aventure du Poséidon (Arte) : le premier film catastrophe d’Hollywood est inspiré d’une histoire vraie

L'article parle de...

La tour infernale

Film catastrophe

  • Paul Newman
  • Steve McQueen
  • #Coulisses de tournage
  • #Piège de cristal

Ça va vous intéresser

Hombre : avez-vous reconnu cette actrice d’une série culte des années 90/2000 ?

News sur Paul Newman

24 Heures du Mans : Michael Fassbender victime d'un accident durant la course, un ancien pilote français dézingue le comédien

Sur le même sujet

Deux (Arte) : l'étonnante histoire vraie à l'origine de ce film émouvant

Autour de Paul Newman

Gregory Peck

  • Richard Brooks
  • Anthony Perkins
  • Neile Adams

Rock Hudson

  • 1 Avec 121 millions de vues en seulement 3 semaines, voici le film Netflix le plus vu entre juillet et décembre 2023
  • 2 L'élégant Artus mène la bande d'Un p'tit truc en plus, Pierre Niney détendu et amoureux… Le tapis rouge du Festival de Cannes prend un splendide accent français (PHOTOS)
  • 3 Festival de Cannes 2024 : palme d'or, palmarès complet, films, stars, montées des marches, soirées… Le récap' de tout ce qu'il fallait savoir sur la 77e édition ! (PHOTOS)
  • 4 Festival de Cannes 2024 : Bérénice Bejo soutient son mari Michel Hazanavicius, Léna Mahfouf radieuse… Les stars illuminent le tapis rouge pour l’avant-dernière soirée ! (PHOTOS)
  • 5 Festival de Cannes 2024 : Adèle Exarchopoulos et François Civil main dans la main, Alain Chabat tout sourire : le casting de L'Amour ouf a un charme fou sur le tapis rouge (PHOTOS)

Connexion à Prisma Connect

Ex. : Black Panther , Top Gun 2 , The Batman

Avis sur La Tour infernale

203 critiques spectateurs.

anonyme

231 abonnés 338 critiques Suivre son activité

Chris46

473 abonnés 978 critiques Suivre son activité

chrischambers86

12 284 abonnés 12 181 critiques Suivre son activité

🎬 RENGER 📼

6 319 abonnés 7 266 critiques Suivre son activité

Jipis

34 abonnés 360 critiques Suivre son activité

fandecaoch

968 abonnés 2 232 critiques Suivre son activité

sly-stallone88

167 abonnés 2 224 critiques Suivre son activité

gooneur

42 abonnés 840 critiques Suivre son activité

Peichan2

51 abonnés 1 431 critiques Suivre son activité

Serpiko77

50 abonnés 1 624 critiques Suivre son activité

Le cinéphile

620 abonnés 2 715 critiques Suivre son activité

Shephard69

290 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

  • Meilleurs films
  • Meilleurs films selon la presse

COMMENTS

  1. Connaissez-vous les secrets de tournage de "La Tour infernale"

    Pour votre séance classique ciné ce mardi 6 août à 21h10, la Trois vous propose le film culte et multirécompensé "La Tour infernale" (non, pas celle de Montparnasse !).Sorti en 1974 ...

  2. La Tour infernale

    La Tour infernale (The Towering Inferno) est un film catastrophe américain réalisé par John Guillermin et Irwin Allen, sorti en 1974.. Consacrant le genre cinématographique du film catastrophe après le triomphe du film L'Aventure du Poséidon (1972), La Tour infernale en représente l'exemple le plus marquant de son époque, tant par ses moyens colossaux (deux grands studios, la 20th ...

  3. La Tour infernale

    La Tour infernale est un film réalisé par John Guillermin avec Paul Newman, Steve McQueen. Synopsis : A San Francisco, le plus grand gratte-ciel du monde va être inauguré. Son architecte ...

  4. La Tour infernale (film)

    La Tour infernale avec Paul Newman et Steve McQueen est une pure folie de cinéma, avec un tournage et des coulisses aussi passionnants que le film lui-même. Dossier - Film 20/08/2023

  5. Anecdotes du film La Tour infernale

    Découvrez les anecdotes, potins, voire secrets inavouables autour du film "La Tour infernale" et de son tournage. 5 secrets de tournage à découvrir comme : Après le succès de L' Aventure du ...

  6. Le film catastrophe ultime : La Tour infernale, ou le début de la fin d

    La Tour infernale avec Paul Newman et Steve McQueen est une pure folie de cinéma, avec un tournage et des coulisses aussi passionnants que le film lui-même.

  7. La Tour infernale

    Pouvez-vous énumérer les principaux faits et statistiques sur La Tour infernale? La Tour infernale ( The Towering Inferno) est un film catastrophe américain réalisé par John Guillermin et Irwin Allen, sorti en 1974. Faits en bref Titre original, Réalisation ... Logo français du film.

  8. La Tour infernale (John Guillermin, 1974)

    John Guillermin. États-Unis / 1974 / 165 min. D'après les romans The Tower de Richard Martin Stern et The Glass Inferno de Thomas M. Scortia et Frank M. Robinson. Avec Steve McQueen, Paul Newman, William Holden, Faye Dunaway. Le jour de l'inauguration d'un prestigieux gratte-ciel, l'architecte se rend compte que le constructeur a privilégié ...

  9. La tour infernale : la critique du film

    Box-office : La tour infernale, un blockbuster de 14 millions de dollars, réalisé pour contrer la crise du cinéma et la concurrence de la télévision.. La tour infernale est l'un des triomphes du cinéma, en 1974 aux USA et en 1975 en France. Le film phénomène est coproduit par la Fox et Warner. La 20th Century Fox distribue le blockbuster aux Etats-Unis quand Warner se charge de l ...

  10. Critique : La Tour infernale (John Guillermin & Irwin Allen)

    La Tour infernale. Synopsis : À San Francisco, le plus grand gratte-ciel du monde va être inauguré. Son architecte, Douglas Roberts, voit cette soirée tourner au drame lorsqu'un court-circuit provoque un incendie et bloque les convives au 135ème étage du bâtiment. C'est Michael O'Hallorhan, le capitaine des pompiers de la ville ...

  11. "La Tour infernale" brûle à nouveau sur Arte : retour sur un tournage

    Publié le 30 avril 2023 à 20h00. T out le monde, ou presque, se souvient de La Tour infernale (1974) et de son gratte-ciel, le plus haut du monde, qui le soir de son inauguration brûle soudain ...

  12. Au feu ! La Tour infernale brûle depuis 45 ans : warnerbros

    La Tour infernale brûle depuis 45 ans. Des beautiful people et des VIP, une soirée au sommet du plus haut gratte-ciel du monde, un architecte débordé, un pompier courageux…. Tels sont les ingrédients de l'un des plus mémorables films catastrophe. Sorti fin 1974 aux États-Unis et en 1975 en France, La Tour infernale a marqué l'histoire ...

  13. La tour infernale (1974), un film de John Guillermin

    La tour infernale, un film de John Guillermin | Synopsis : Le jour de l'inauguration du plus grand gratte-ciel du monde, qui réunit toutes les personnalités de la ville, un incendie se ...

  14. La Tour infernale : l'incendie du film a-t-il vraiment eu lieu

    Aujourd'hui le monde des médias n'a plus aucun secret pour moi... ou presque. À l'occasion de la diffusion du film culte La Tour infernale dimanche 30 avril 2023, à partir de 20h55 sur Arte ...

  15. La tour infernale. • Critique • Disney-Planet.Fr

    La tour infernale est l'adaptation des romans The Tower par Richard Martin Stern (publié en 1973) et The Glass Inferno par Thomas N. Scortia et Frank M. Robinson (publié en 1974). Chaque livre traite d'un gratte-ciel en flammes. ... Le tournage s'est déroulé de mai à septembre 1974 en Californie. Notre critique de La tour infernale.

  16. La Tour infernale (Arte) : quel film catastrophe culte est à l'origine

    Télé-Loisirs vous explique. Réalisé en 1974, La Tour infernale, diffusé ce dimanche 30 avril 2023 à 20h50, sur Arte, est le prototype du film-catastrophe. Mis en scène avec de grands moyens ...

  17. Casting du film La Tour infernale : Réalisateurs, acteurs et équipe

    Retrouvez tout le casting du film La Tour infernale réalisé par John Guillermin avec Paul Newman, Steve McQueen, William Holden

  18. La Tour infernale

    A San Francisco, le plus grand gratte-ciel du monde va être inauguré. Son architecte, Douglas Roberts, voit cette soirée tourner au drame lorsqu'un court-circuit provoque un incendie et bloque les convives au 135e étage du bâtiment. C'est Michael O'Hallorhan, le capitaine des pompiers de la ville, qui est chargé de commander l'opération ...

  19. La Tour infernale : quand Steve McQueen était jaloux de Paul Newman

    La Tour infernale : casting prestigieux pour immeuble en feu Après le succès de L'Aventure du Poséidon en 1972, les films catastrophe deviennent en vogue à Hollywood.Une mode qui donne naissance à de nombreux longs-métrages dotés d'un casting prestigieux mais largement dispensables comme Terreur sur le Britannic ou Meteor, ainsi qu'à de grosses productions devenues des références ...

  20. La Tour infernale sur Arte : ces drôles de caprices des stars sur le

    Le tournage du long métrage "La Tour infernale", diffusé ce dimanche soir sur Arte, a été le théâtre de petits caprices de la part de ses comédiens. Ou vous les révèle !

  21. La Tour Montparnasse infernale

    La Tour de contrôle infernale (2016) Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution . modifier La Tour Montparnasse infernale est une comédie française réalisée par Charles Nemes , tournée en 2000 et sortie en 2001 . Elle marque la première apparition d' Éric et Ramzy au cinéma en tant que personnages principaux, après leurs succès à la télévision et sur scène ...

  22. Les Traîtres, saison 3 : Casting, lieu de tournage différent

    Les Traîtres, saison 3 : Casting, lieu de tournage différent, compétition en parallèle... tout ce qu'il faut savoir ! Les Traîtres, saison 3 : Casting, lieu de tournage différent, compétition en parallèle... tout ce qu'il faut savoir ! ... Battue au premier tour, la Française... Purepeople. Kristina Mladenovic : La Française longtemps ...

  23. La Tour infernale Bande-annonce VO

    La Tour infernale, un film de John Guillermin. ... Secrets de tournage. Récompenses. Films similaires. La Tour infernale Bande-annonce VO. 54 657 vues 7 sept. 2012 Partager.

  24. Les Traîtres, saison 3 : Casting, lieu de tournage différent

    M6 a commandé une nouvelle édition de son émission phare. Et elle a dévoilé le casting complet par voie de communiqué de presse. On a aussi appris que le lieu de tournage avait changé et qu'une autre compétition était prévue. L'émission estivale de M6 se dévoile. Prochainement, la sixième chaîne diffusera la saison 3 des Traîtres ...

  25. Critique du film La Tour infernale

    Meilleurs films selon la presse. Retrouvez les 202 critiques et avis pour le film La Tour infernale, réalisé par John Guillermin avec Paul Newman, Steve McQueen, William Holden.