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Tour de Lombardie 2024 : Un Monument du cyclisme à ne pas manquer

Le 12 octobre prochain, se déroulera la 118e édition du Tour de Lombardie, également surnommé la Classique des Feuilles Mortes. Cet événement marque la fin de la saison cycliste, et son parcours accidenté à travers les magnifiques paysages du nord de l’Italie en fait un rendez-vous incontournable.

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Le Tour de Lombardie est l’un des cinq Monuments du cyclisme, aux côtés de Milan-San Remo, du Tour des Flandres, de Paris-Roubaix et de Liège-Bastogne-Liège. Il est souvent surnommé la Classique des feuilles mortes en raison de sa date de déroulement, généralement le troisième week-end d’octobre, lorsque les feuilles des arbres commencent à changer de couleur.

Pourquoi le Tour de Lombardie est-il un Monument ?

Le Tour de Lombardie est l’une des cinq Monuments du cyclisme , aux côtés de Milan-San Remo , du Tour des Flandres , de Paris-Roubaix , et de Liège-Bastogne-Liège . Ce statut unique repose sur plusieurs critères clés qui le distinguent dans le calendrier cycliste :

Histoire et tradition : Créée en 1905, cette classique a traversé les âges en restant fidèle à son identité. Elle a vu défiler plusieurs générations de champions et continue d’attirer les meilleurs grimpeurs du monde.

Difficulté du parcours : Le Tour de Lombardie est réputé pour être l’une des courses les plus exigeantes de la saison. Ses 252 kilomètres sont parsemés de montées mythiques telles que la Madonna del Ghisallo ou la Colma di Sormano avec son terrifiant Muro di Sormano, l’une des pentes les plus raides d’Europe. Ces ascensions légendaires font de cette épreuve un véritable test pour les jambes et la tactique des coureurs.

Un cadre automnal unique : Disputée en octobre, la course se déroule souvent dans des conditions météorologiques incertaines, avec des routes tapissées de feuilles mortes, d’où son surnom. Cette atmosphère romantique et nostalgique confère à la course une aura particulière, différente des autres classiques.

Un palmarès prestigieux : De nombreux légendes du cyclisme y ont inscrit leur nom, de Fausto Coppi à Eddy Merckx, en passant par Bernard Hinault et, plus récemment, Tadej Pogačar, vainqueur des trois dernières éditions (2021-2023).

Les spécificités de l’édition 2024

Pour cette édition 2024, le parcours reste fidèle à la tradition tout en introduisant quelques ajustements pour maintenir le suspense et le défi. La course débutera à Bergame et se terminera à Côme , après 252 kilomètres éreintants, ponctués de huit ascensions dont certaines décisives : Sella di Osigio (16 km à 6%), Madonna del Ghisallo , un sommet mythique du cyclisme avec son sanctuaire dédié aux coureurs, Colma di Sormano , célèbre pour son mur aux pentes dépassant parfois 27%, et enfin la montée finale de San Fermo della Battaglia , avant la descente vertigineuse vers le lac de Côme. Ces côtes légendaires promettent de provoquer des écarts significatifs et offrir des occasions d’attaques spectaculaires.

Pourquoi suivre cette édition ?

Un moment de clôture pour la saison : Le Tour de Lombardie est la dernière grande classique de l’année. Les coureurs y voient une opportunité unique de finir leur saison en apothéose. Des conditions imprévisibles : Les conditions météorologiques automnales ajoutent un élément d’incertitude qui pourrait bouleverser le déroulement de la course, avec la pluie, le froid ou des routes glissantes influençant les stratégies. Un duel au sommet : Cette année, les plus grands noms du cyclisme sont attendus, avec Tadej Pogacar qui visera une quatrième victoire consécutive, mais il devra faire face à des adversaires de taille comme Primoz Roglic ou Remco Evenepoel , tous deux déterminés à inscrire leur nom au palmarès.

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• Date: 07 October 2023
• Start time: 10:35
• Avg. speed winner: 40.163 km/h
• Classification: 1.UWT
• Race category: ME - Men Elite
• Distance: 238 km
• Points scale: 1.WT.A
• UCI scale: UCI.WR.Monument
• Parcours type:
• ProfileScore: 206
• Vertical meters: 4646
• Departure: Como
• Arrival: Bergamo
• Race ranking: 3
• Startlist quality score: 1099
• Won how: 31 km solo
• Avg. temperature:

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Un peu du Tour de Lombardie, du GP de Montréal et du Mur de Huy : on a reconnu le parcours du Mondial

Serge pauwels et ses juniors ont reconnu le parcours sur lequel remco evenepoel tentera dimanche de gagner un nouveau maillot arc-en-ciel..

• Publié le 26-09-2024 à 13h30

C'est un jour comme un autre à Wetzikon. Dans cette localité, située à 50 minutes en voiture de Zurich (mais à 15 en train), le temps se montrait assez changeant. Les nuages et une fine pluie rivalisaient dans le ciel avec quelques rayons du soleil. "Nous, on vient de Belgique. Donc, peu importe le climat" , lancera Matisse Van Kerckhove. Les autres juniors et lui rouleront la course en ligne ce jeudi.

Ce mardi, c'est jour de reconnaissance. Sous la houlette de Serge Pauwels, leur sélectionneur et assistant de Sven Vanthourenhout. "Je préfère toujours faire la reconnaissance avec eux à vélo, et pas dans la voiture , lance celui qui espère prendre la succession à la tête de l'équipe nationale. Parce qu'un coureur parle toujours plus facilement quand il s'entraîne et qu'il est dans son élément que s'il est assis dans un fauteuil. J'aime avoir leur ressenti."

Dans la voiture qui suit toute cette petite bande ont pris place Douglas, le mécanicien, et Sander, le soigneur. " Parce qu'il peut toujours se passer quelque chose, un coureur peut crever" , précise l'un d'eux.

Les juniors ont donc permis d'aller en repérage, de voir à quoi ressemble ce parcours long de 273,9 kilomètres, à l'issue duquel Remco Evenepoel aimerait réaliser un nouvel exploit historique en devenant le premier coureur à réussir la même année le doublé chrono-route, deux mois après avoir déjà signé cette performance XXL aux Jeux olympiques.

1. Quatre points cruciaux

"Ils ont trouvé le parcours plus difficile que ce qu'ils avaient imaginé" , expliquera, après coup, Serge Pauwels. Le circuit local fait 26,8 bornes, avec un dénivelé positif de 474 mètres. Ce jeudi, les juniors devront l'effectuer à trois reprises. Dimanche, les pros le parcourront sept fois. " Si je dois comparer ce tracé à une classique connue, je dirais le Tour de Lombardie , poursuit notre interlocuteur, même si c'est un peu moins difficile ici. On pourrait aussi parler du GP de Montréal. Et ça me fait également un peu penser au parcours de Lugano, où Johan Museeuw est devenu champion du monde en 1996." Selon Pauwels, il n'y a pas un seul endroit crucial, mais quatre. On vous les détaille.

2. La Zurichbergstrasse (800 m à 8,7 %)

Une fois qu'ils auront roulé deux kilomètres sur le circuit local, les coureurs devront grimper la première côte de la journée : la Zurichbergstrasse. D'un pourcentage moyen de 8,7 % mais avec un passage à 15,9 %. "C'est la pente la plus raide du parcours , assure Pauwels. Je la comparerais au Mur de Huy, mais en deux fois moins long. Elle n'a pas de virage mais, comme tu n'arrives pas lancé, elle semble encore plus difficile. Pour les vrais puncheurs, c'est sans doute l'endroit idéal pour tenter quelque chose. Donc pour Remco aussi. Mais la question est de savoir : si Pogacar passe à l'attaque là, qui sera en mesure de le suivre ? Le sommet se situe à 24 kilomètres de l'arrivée. Donc, je vois ça comme un désavantage pour le Slovène parce qu'il devrait tenir seul longtemps."

3. La Witikonerstrasse (2,5 km à 5,4 %)

"Une fois atteint le sommet de la Zurichbergstrasse, cela descend légèrement pendant deux kilomètres, à du 2 % de moyenne. Il s'agit d'une descente régulière , poursuit Pauwels. Ensuite, les coureurs arriveront vite au pied de la plus longue montée du parcours : la Witikonerstrasse. Au début, la route s'élève doucement, mais après un virage à droite, on est à du 9 % pendant un kilomètre, avant de rester jusqu'au bout à 7 ou 8 % de moyenne." Ce sera donc un terrain propice aux meilleurs grimpeurs du peloton. " Officiellement, cette ascension fait 2,5 kilomètres, mais j'ai plus l'impression que ça grimpe vraiment pendant 1,5 borne."

Comme cette Witikonerstrasse arrivera rapidement après la Zurichbergstrasse, cela ne laissera pas beaucoup de temps aux coureurs pour récupérer. À son sommet, il restera encore vingt kilomètres à parcourir jusqu'à l'arrivée.

4. Un plateau avec plusieurs petites côtes très raides

guillement La route sera très étroite et il ne pourra pas y avoir plus de deux coureurs l'un à côté de l'autre. Serge Pauwels

Une fois arrivé en haut de la Witikonerstrasse, le peloton devra en profiter pour récupérer et s'alimenter parce que ça ne descend pas, ou presque. Durant dix kilomètres, les coureurs resteront, en effet, sur un plateau qui se caractérise par une succession de petites montées et descentes qui casseront le rythme. "En fait, ce n'est jamais plat et il y a beaucoup de pentes très raides. Mais comme, cette fois, les coureurs arriveront lancés, ça ne devrait pas leur poser de problème. Il y aura un élément crucial, cependant : le placement. Dans cette partie, la route sera très étroite et il ne pourra pas y avoir plus de deux coureurs l'un à côté de l'autre."

À la fin de la dernière rampe, le peloton sera une petite dizaine de bornes de la ligne.

5. Descente dangereuse et dernière bosse pour attaquer

Pour la première fois, les coureurs auront droit à une vraie descente, longue de 3,5 kilomètres. " La route semble en bon état, mais elle peut être dangereuse s'il a plu les jours précédents , pense Pauwels. Ce n'est pas une descente très technique, mais ce n'est pas non plus tout le temps en ligne droite."

Une fois en bas, il restera 6,5 kilomètres et, rapidement, les coureurs auront droit à la dernière difficulté du tracé : une rampe de 1 kilomètre, à 4 %, maximum 6 %. " Ce ne sera pas un passage facile. Selon moi, c'est un endroit idéal pour placer une attaque décisive."

Il ne restera, en effet, alors qu'un peu moins de 5 kilomètres en ligne droite jusqu'au finish sur les bords du lac de Zurich.

6. Conclusion

"C'est un parcours typique d'un championnat du monde où tout peut se passer , conclut Pauwels. Je ne vois pas un endroit bien précis où l'on peut se dire que la course se jouera là. On pourrait penser que la Zurichbergstrasse est l'endroit clé, mais il restera encore vingt kilomètres à parcourir. Il peut aussi y avoir des attaques dans l'une ou l'autre bosse du plateau. J'ai le sentiment qu'il sera difficile de vraiment s'organiser sur un tel tracé. Les équipes pourront se mettre en place le long du lac, mais elles devront faire vite parce que le tour suivant et ses deux montées (NdlR : la Zurichbergstrasse et la Witikonerstrasse) arriveront vite."

guillement Il sera difficile de vraiment s'organiser sur un tel parcours. Serge Pauwels

Du coup, qui peut-on pointer parmi les favoris ? " Tout le monde parle de Pogacar, mais c'est un parcours où Mathieu van der Poel doit pouvoir faire quelque chose. Parce qu'il est en forme et parce qu'il doit être en mesure de tenir le coup dans les deux bosses. Et après, il y a des endroits qui sont taillés sur mesure pour lui."

Ce parcours devrait aussi convenir à Remco Evenepoel. "Il va avoir à plusieurs reprises la possibilité de passer à l'offensive , estime l'adjoint de Sven Vanthourenhout. Il n'a sûrement pas l'obligation d'attaquer dès la Zurichbergstrasse."

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Un peu du Tour de Lombardie, du GP de Montréal et du Mur de Huy : on a reconnu le parcours du Mondial

Serge pauwels et ses juniors ont reconnu le parcours sur lequel remco evenepoel tentera dimanche de gagner un nouveau maillot arc-en-ciel..

• Publié le 26-09-2024 à 08h00

C'est un jour comme un autre à Wetzikon. Dans cette localité, située à 50 minutes en voiture de Zurich (mais à 15 en train), le temps se montrait assez changeant. Les nuages et une fine pluie rivalisaient dans le ciel avec quelques rayons du soleil. "Nous, on vient de Belgique. Donc, peu importe le climat" , lancera Matisse Van Kerckhove. Les autres juniors et lui rouleront la course en ligne ce jeudi.

Ce mardi, c'est jour de reconnaissance. Sous la houlette de Serge Pauwels, leur sélectionneur et assistant de Sven Vanthourenhout. "Je préfère toujours faire la reconnaissance avec eux à vélo, et pas dans la voiture , lance celui qui espère prendre la succession à la tête de l'équipe nationale. Parce qu'un coureur parle toujours plus facilement quand il s'entraîne et qu'il est dans son élément que s'il est assis dans un fauteuil. J'aime avoir leur ressenti."

Dans la voiture qui suit toute cette petite bande ont pris place Douglas, le mécanicien, et Sander, le soigneur. " Parce qu'il peut toujours se passer quelque chose, un coureur peut crever" , précise l'un d'eux.

Les juniors ont donc permis d'aller en repérage, de voir à quoi ressemble ce parcours long de 273,9 kilomètres, à l'issue duquel Remco Evenepoel aimerait réaliser un nouvel exploit historique en devenant le premier coureur à réussir la même année le doublé chrono-route, deux mois après avoir déjà signé cette performance XXL aux Jeux olympiques.

1. Quatre points cruciaux

"Ils ont trouvé le parcours plus difficile que ce qu'ils avaient imaginé" , expliquera, après coup, Serge Pauwels. Le circuit local fait 26,8 bornes, avec un dénivelé positif de 474 mètres. Ce jeudi, les juniors devront l'effectuer à trois reprises. Dimanche, les pros le parcourront sept fois. " Si je dois comparer ce tracé à une classique connue, je dirais le Tour de Lombardie , poursuit notre interlocuteur, même si c'est un peu moins difficile ici. On pourrait aussi parler du GP de Montréal. Et ça me fait également un peu penser au parcours de Lugano, où Johan Museeuw est devenu champion du monde en 1996." Selon Pauwels, il n'y a pas un seul endroit crucial, mais quatre. On vous les détaille.

2. La Zurichbergstrasse (800m à 8,7 %)

Une fois qu'ils auront roulé deux kilomètres sur le circuit local, les coureurs devront grimper la première côte de la journée : la Zurichbergstrasse. D'un pourcentage moyen de 8,7 % mais avec un passage à 15,9 %. "C'est la pente la plus raide du parcours , assure Pauwels. Je la comparerais au Mur de Huy, mais en deux fois moins long. Elle n'a pas de virage mais, comme tu n'arrives pas lancé, elle semble encore plus difficile. Pour les vrais puncheurs, c'est sans doute l'endroit idéal pour tenter quelque chose. Donc pour Remco aussi. Mais la question est de savoir : si Pogacar passe à l'attaque là, qui sera en mesure de le suivre ? Le sommet se situe à 24 kilomètres de l'arrivée. Donc, je vois ça comme un désavantage pour le Slovène parce qu'il devrait tenir seul longtemps."

3. La Witikonerstrasse (2,5km à 5,4 %)

"Une fois atteint le sommet de la Zurichbergstrasse, cela descend légèrement pendant deux kilomètres, à du 2 % de moyenne. Il s'agit d'une descente régulière , poursuit Pauwels. Ensuite, les coureurs arriveront vite au pied de la plus longue montée du parcours : la Witikonerstrasse. Au début, la route s'élève doucement, mais après un virage à droite, on est à du 9 % pendant un kilomètre, avant de rester jusqu'au bout à 7 ou 8 % de moyenne." Ce sera donc un terrain propice aux meilleurs grimpeurs du peloton. " Officiellement, cette ascension fait 2,5 kilomètres, mais j'ai plus l'impression que ça grimpe vraiment pendant 1,5 borne."

Comme cette Witikonerstrasse arrivera rapidement après la Zurichbergstrasse, cela ne laissera pas beaucoup de temps aux coureurs pour récupérer. À son sommet, il restera encore vingt kilomètres à parcourir jusqu'à l'arrivée.

4. Un plateau avec plusieurs petites côtes très raides

guillement La route sera très étroite et il ne pourra pas y avoir plus de deux coureurs l'un à côté de l'autre. Serge Pauwels

Une fois arrivé en haut de la Witikonerstrasse, le peloton devra en profiter pour récupérer et s'alimenter parce que ça ne descend pas, ou presque. Durant dix kilomètres, les coureurs resteront, en effet, sur un plateau qui se caractérise par une succession de petites montées et descentes qui casseront le rythme. "En fait, ce n'est jamais plat et il y a beaucoup de pentes très raides. Mais comme, cette fois, les coureurs arriveront lancés, ça ne devrait pas leur poser de problème. Il y aura un élément crucial, cependant : le placement. Dans cette partie, la route sera très étroite et il ne pourra pas y avoir plus de deux coureurs l'un à côté de l'autre."

À la fin de la dernière rampe, le peloton sera une petite dizaine de bornes de la ligne.

5. Descente dangereuse et dernière bosse pour attaquer

Pour la première fois, les coureurs auront droit à une vraie descente, longue de 3,5 kilomètres. " La route semble en bon état, mais elle peut être dangereuse s'il a plu les jours précédents , pense Pauwels. Ce n'est pas une descente très technique, mais ce n'est pas non plus tout le temps en ligne droite."

Une fois en bas, il restera 6,5 kilomètres et, rapidement, les coureurs auront droit à la dernière difficulté du tracé : une rampe de 1 kilomètre, à 4 %, maximum 6 %. " Ce ne sera pas un passage facile. Selon moi, c'est un endroit idéal pour placer une attaque décisive."

Il ne restera, en effet, alors qu'un peu moins de 5 kilomètres en ligne droite jusqu'au finish sur les bords du lac de Zurich.

6. Conclusion

"C'est un parcours typique d'un championnat du monde où tout peut se passer , conclut Pauwels. Je ne vois pas un endroit bien précis où l'on peut se dire que la course se jouera là. On pourrait penser que la Zurichbergstrasse est l'endroit clé, mais il restera encore vingt kilomètres à parcourir. Il peut aussi y avoir des attaques dans l'une ou l'autre bosse du plateau. J'ai le sentiment qu'il sera difficile de vraiment s'organiser sur un tel tracé. Les équipes pourront se mettre en place le long du lac, mais elles devront faire vite parce que le tour suivant et ses deux montées (NdlR : la Zurichbergstrasse et la Witikonerstrasse) arriveront vite."

guillement Il sera difficile de vraiment s'organiser sur un tel parcours. Serge Pauwels

Du coup, qui peut-on pointer parmi les favoris ? " Tout le monde parle de Pogacar, mais c'est un parcours où Mathieu van der Poel doit pouvoir faire quelque chose. Parce qu'il est en forme et parce qu'il doit être en mesure de tenir le coup dans les deux bosses. Et après, il y a des endroits qui sont taillés sur mesure pour lui."

Ce parcours devrait aussi convenir à Remco Evenepoel. "Il va avoir à plusieurs reprises la possibilité de passer à l'offensive , estime l'adjoint de Sven Vanthourenhout. Il n'a sûrement pas l'obligation d'attaquer dès la Zurichbergstrasse."

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Le Tour de Lombardie 1979 est la 73ème édition de cette épreuve. La compétition a eu lieu le 13 octobre 1979 . Le vainqueur de l'édition 1979 est Bernard Hinault.

Résultats 1979

Informations, palmarès, statistiques, tour de lombardie 1979.

Tour de Lombardie - 13 Octobre 1979

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• 2023 - Il Lombardia
• 2024 - Tour de Lombardie

Tour de Lombardie - Informations

Informations générales.

• Première édition : 1905
• Nombre d'éditions : 117 (incluant 2023)
• Nom officiel : Giro di Lombardia
• Adresse wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tour_de_Lombardie
• Organisateur : RCS Sport
• Site officiel : http://www.gazzetta.it/Speciali/GiroLombardia/it

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