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  • Le Tour du Monde, Nouveau Journal de Voyages 1867

Identifiant

Collection items, erny alfred. voyage dans le pays de galles (1862, inédit).

Erny Alfred. Voyage dans le Pays de Galles (1862, inédit)

Moynet R.. La Volga (1858, inédit)

Moynet R.. La Volga (1858, inédit)

Simonin L.. Le Creusot et les mines de Saône-et-Loire (1866, inédit)

Simonin L.. Le Creusot et les mines de Saône-et-Loire (1866, inédit)

Celler Ludovic. La semaine sainte à Rome (1863, inédit)

Celler Ludovic. La semaine sainte à Rome (1863, inédit)

Lejean Guillaume Marie. Voyage en Abyssinie (1862-1863, inédit), le Tour du monde, Nouveau journal des Voyages, 1867, premier semestre, n° 15, p. 386-395, partie 3.

Lejean Guillaume Marie. Voyage en Abyssinie (1862-1863, inédit), le Tour du monde, Nouveau journal des Voyages, 1867, premier semestre, n° 15, p. 386-395, partie 3.

Lejean Guillaume Marie. Appendice au voyage en Haute-Nubie - Révolte et sac de Kassala (1865, inédit)

Lejean Guillaume Marie. Appendice au voyage en Haute-Nubie - Révolte et sac de Kassala (1865, inédit)

Humbert Aimé. Le Japon (1863-1864, inédit)

Humbert Aimé. Le Japon (1863-1864, inédit)

Lejean Guillaume Marie. Voyage en Abyssinie (1862-1863, inédit)

Lejean Guillaume Marie. Voyage en Abyssinie (1862-1863, inédit)

Marcoy Paul. Voyage de l'Océan Atlantique à l'Océan Pacifique à travers l'Amérique du Sud (1848-1860, inédit)

Marcoy Paul. Voyage de l'Océan Atlantique à l'Océan Pacifique à travers l'Amérique du Sud (1848-1860, inédit)

Plombières et ses environs (1867, inédit)

Plombières et ses environs (1867, inédit)

Sir White Baker Samuel. Voyage à l'Albert N'Yanza ou Lac Albert (le Louta-N'Zigé du capitaine Speke) (1861-1864, inédit)

Sir White Baker Samuel. Voyage à l'Albert N'Yanza ou Lac Albert (le Louta-N'Zigé du capitaine Speke) (1861-1864, inédit)

Vivien de Saint-Martin. Revue géographique du premier semestre 1867

Charton ernest. quito, république de l'equateur (1862, inédit).

Charton Ernest. Quito, république de l'Equateur (1862, inédit)

Hiérarchie de la collection

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Ce fichier est un extrait du recueil du journal "Le Tour du monde: Journal des voyages et des voyageurs" (2ème semestre 1860).

Les articles ont été regroupés dans des fichiers correspondant aux différentes zones géographiques, ce fichier contient les articles sur l'Australie.

Chaque fichier contient l'index complet du recueil dont ces articles sont originaires.

LE TOUR DU MONDE

IMPRIMERIE GÉNÉRALE DE CH. LAHURE Rue de Fleurus, 9, à Paris

NOUVEAU JOURNAL DES VOYAGES

PUBLIÉ SOUS LA DIRECTION DE M. ÉDOUARD CHARTON ET ILLUSTRÉ PAR NOS PLUS CÉLÈBRES ARTISTES

1860 DEUXIÈME SEMESTRE

LIBRAIRIE DE L. HACHETTE ET C ie PARIS, BOULEVARD SAINT-GERMAIN, N o 77 LONDRES, KING WILLIAM STREET, STRAND LEIPZIG, 15, POST-STRASSE

TABLE DES MATIÈRES.

Un mois en Sicile (1843.—Inédit.), par M. Félix Bourquelot .

Arrivée en Sicile. — Palerme et ses habitants. — Les monuments de Palerme. — La cathédrale de Monreale. — De Palerme à Trapani. — Partenico. — Alcamo. — Calatafimi. — Ruines de Ségeste. — Trapani. — La sépulture du couvent des capucins. — Le mont Éryx. — De Trapani à Girgenti. — La Lettica. — Castelvetrano. — Ruines de Sélinonte. — Sciacca. — Girgenti (Agrigente). — De Girgenti à Castrogiovanni. — Caltanizzetta. — Castrogiovanni. — Le lac Pergusa et l'enlèvement de Proserpine. — De Castrogiovanni à Syracuse. — Calatagirone. — Vezzini. — Syracuse. — De Syracuse à Catane. — Lentini. — Catane. — Ascension de l'Etna. — Taormine. — Messine. — Retour à Naples.

Voyage en Perse , fragments par M. le comte A. de Gobineau (1855-1858), dessins inédits de M. Jules Laurens .

Arrivée à Ispahan. — Le gouverneur. — Aspect de la ville. — Le Tchéhar-Bâgh. — Le collége de la Mère du roi. — La mosquée du roi. — Les quarante colonnes. — Présentations. — Le pont du Zend-è-Roub. — Un dîner à Ispahan. — La danse et la comédie. — Les habitants d'Ispahan. — D'Ispahan à Kaschan. — Kaschan. — Ses fabriques. — Son imprimerie lithographique. — Ses scorpions. — Une légende. — Les bazars. — Le collége. — De Kaschan à la plaine de Téhéran. — Koum. — Feux d'artifice. — Le pont du Barbier. — Le désert de Khavèr. — Houzé-Sultan. — La plaine de Téhéran. — Téhéran. — Notre entrée dans la ville. — Notre habitation.

Une audience du roi de Perse. — Nouvelles constructions à Téhéran. — Température. — Longévité. — Les nomades. — Deux pèlerins. — Le culte du feu. — La police. — Les ponts. — Le laisser aller administratif. — Les amusements d'un bazar persan. — Les fiançailles. — Le divorce. — La journée d'une Persane. — La journée d'un Persan. — Les visites. — Formules de politesses. — La peinture et la calligraphie persanes. — Les chansons royales. — Les conteurs d'histoires. — Les spectacles: drames historiques. — Épilogue. — Le Démavend. — L'enfant qui cherche un trésor.

Voyages aux Indes Occidentales , par M. Anthony Trollope (1858-1859); dessins inédits de M. A. de Bérard .

L'île Saint-Thomas. — La Jamaïque: Kingston; Spanish-Town; les réserves ; la végétation. — Les planteurs et les nègres. — Plaintes d'une Ariane noire. — La toilette des négresses. — Avenir des mulâtres. — Les petites Antilles. — La Martinique. — La Guadeloupe. — Grenada. — La Guyane anglaise. — Une sucrerie. — Barbados. — La Trinidad. — La Nouvelle-Grenade. — Sainte-Marthe. — Carthagène. — Le chemin de fer de Panama. — Costa Rica: San José; le Mont-Blanco. — Le Serapiqui. — Greytown.

Voyage dans les États scandinaves , par M. Paul Riant . (Le Télémark et l'évêché de Bergen .) (1858.—Inédit.)

Le Télémark . — Christiania. — Départ pour le Télémark. — Mode de voyager. — Paysage. — La vallée et la ville de Drammen. — De Drammen à Kongsberg. — Le cheval norvégien. — Kongsberg et ses gisements métallifères. — Les montagnes du Télémark. — Leurs habitants. — Hospitalité des gaards et des sæters . — Une sorcière. — Les lacs Tinn et Mjös. — Le Westfjord. — La chute du Rjukan. — Légende de la belle Marie. — Dal. — Le livre des étrangers. — L'église d'Hitterdal. — L'ivresse en Norvège. — Le châtelain aubergiste. — Les lacs Sillegjord et Bandak. — Le ravin des Corbeaux.

— Le Saint-Olaf et ses pareils. — Navigation intérieure. — Retour à Christiania par Skien.

L'évêché de Bergen . — La presqu'île de Bergen . — Lærdal. — Le Sognefjord. — Vosse-Vangen. — Le Vöringfoss. — Le Hardangerfjord. — De Vikoër à Sammanger et à Bergen .

Voyage de M. Guillaume Lejean dans l'Afrique orientale (1860.—Texte et dessins inédits.)—Lettre au Directeur du Tour du monde (Khartoum, 10 mai 1860).

D'Alexandrie à Souakin. — L'Égypte. — Le désert. — Le simoun. — Suez. — Un danger. — Le mirage. — Tor. — Qosséir. — Djambo. — Djeddah.

Voyage au mont Athos , par M. A. Proust (1858.—Inédit.)

Salonique. — Juifs, Grecs et Bulgares. — Les mosquées. — L'Albanais Rabottas. — Préparatifs de départ. — Vasilika. — Galatz. — Nedgesalar. — L'Athos. — Saint-Nicolas. — Le P. Gédéon. — Le couvent russe. — La messe chez les Grecs. — Kariès et la république de l'Athos. — Le voïvode turc. — Le peintre Anthimès et le pappas Manuel. — M. de Sévastiannoff.

Ermites indépendants. — Le monastère de Koutloumousis. — Les bibliothèques. — La peinture. — Manuel Panselinos et les peintres modernes. — Le monastère d'Iveron. — Les carêmes. — Peintres et peintures. — Stavronikitas. — Miracles. — Un Vroukolakas. — Les bibliothèques. — Les mulets. — Philotheos. — Les moines et la guerre de l'Indépendance. — Karacallos. — L'union des deux Églises. — Les pénitences et les fautes.

La légende d'Arcadius. — Le pappas de Smyrne. — Esphigmenou. — Théodose le Jeune. — L'ex-patriarche Anthymos et l'Église grecque. — L'isthme de l'Athos et Xerxès. — Les monastères bulgares: Kiliandari et Zographos. — La légende du peintre. — Beauté du paysage. — Castamoniti. — Une femme au mont Athos. — Dokiarios. — La secte des Palamites. — Saint-Xénophon. — La pêche aux éponges. — Retour à Kariès. — Xiropotamos, le couvent du Fleuve Sec. — Départ de Daphné. — Marino le chanteur.

Voyage d'un naturaliste ( Charles Darwin ).—L'archipel Galapagos et les attoles ou îles de coraux.—(1838).

L'Archipel Galapagos. — Groupe volcanique. — Innombrables cratères. — Aspect bizarre de la végétation. — L'île Chatam. — Colonie de l'île Charles. — L'île James. — Lac salé dans un cratère. — Histoire naturelle de ce groupe d'îles. — Mammifères; souris indigène. — Ornithologie; familiarité des oiseaux; terreur de l'homme; instinct acquis. — Reptiles; tortues de terre; leurs habitudes.

Encore les tortues de terre; lézard aquatique se nourrissant de plantes marines; lézard terrestre herbivore, se creusant un terrier. — Importance des reptiles dans cet archipel où ils remplacent les mammifères. — Différences entre les espèces qui habitent les diverses îles. — Aspect général américain.

Les attoles ou îles de coraux. — Île Keeling. — Aspect merveilleux. — Flore exiguë. — Voyage des graines. — Oiseaux. — Insectes. — Sources à flux et reflux. — Chasse aux tortues. — Champs de coraux morts. — Pierres transportées par les racines des arbres. — Grand crabe. — Corail piquant. — Poissons se nourrissant de coraux. — Formation des attoles. — Profondeur à laquelle le corail peut vivre. — Vastes espaces parsemés d'îles de corail. — Abaissement de leurs fondations. — Barrières. — Franges de récifs. — Changement des franges en barrières et des barrières en attoles.

Biographie. —Brun-Rollet.

Voyage au pays des Yakoutes (Russie asiatique), par Ouvarovski (1830-1839).

Djigansk. — Mes premiers souvenirs. — Brigandages. — Le paysage de Djigansk. — Les habitants. — La pêche. — Si les poissons morts sont bons à manger. — La sorcière Agrippine. — Mon premier voyage. — Killæm et ses environs. — Malheurs. — Les Yakoutes. — La chasse et la pêche. — Yakoutsk. — Mon premier emploi. — J'avance. — Dernières recommandations de ma mère. — Irkoutsk. — Voyage. — Oudskoï. — Mes bagages. — Campement. — Le froid. — La rivière Outchour. — L'Aldan. — Voyage dans la neige et dans la glace. — L'Ægnæ. — Un Tongouse qui pleure son chien. — Obstacles et fatigues. — Les guides. — Ascension du Diougdjour. — Stratagème pour prendre un oiseau. — La ville d'Oudskoï. — La pêche à l'embouchure du fleuve Ut. — Navigation pénible. — Boroukan. — Une halte dans la neige. — Les rennes. — Le mont Byraya. — Retour à Oudskoï et à Yakoutsk.

Viliouisk. — Sel tricolore. — Bois pétrifié. — Le Sountar. — Nouveau voyage. — Description du pays des Yakoutes. — Climat. — Population. — Caractères. — Aptitudes. — Les femmes yakoutes.

De Sydney à Adélaïde (Australie du Sud), notes extraites d'une correspondance particulière (1860).

Les Alpes australiennes. — Le bassin du Murray. — Ce qui reste des anciens maîtres du sol. — Navigation sur le Murray. — Frontières de l'Australie du Sud. — Le lac Alexandrina. — Le Kanguroo rouge. — La colonie de l'Australie du Sud. — Adélaïde. — Culture et mines.

Voyages et découvertes au centre de l'Afrique , journal du docteur Barth (1849-1855).

Henry Barth . — But de l'expédition de Richardson . — Départ. — Le Fezzan. — Mourzouk. — Le désert. — Le palais des démons. — Barth s'égare; torture et agonie. — Oasis. — Les Touaregs. — Dunes. — Afalesselez. — Bubales et moufflons. — Ouragan. — Frontières de l'Asben. — Extorsions. — Déluge à une latitude où il ne doit pas pleuvoir. — La Suisse du désert. — Sombre vallée de Taghist. — Riante vallée d'Auderas. — Agadez. — Sa décadence. — Entrevue de Barth et du sultan. — Pouvoir despotique. — Coup d'œil sur les mœurs. — Habitat de la girafe. — Le Soudan; le Damergou. — Architecture. — Katchéna; Barth est prisonnier. — Pénurie d'argent. — Kano. — Son aspect, son industrie, sa population. — De Kano à Kouka. — Mort de Richardson . — Arrivée à Kouka. — Difficultés croissantes. — L'énergie du voyageur en triomphe. — Ses visiteurs. — Un vieux courtisan. — Le vizir et ses quatre cents femmes. — Description de la ville, son marché, ses habitants. — Le Dendal. — Excursion. — Angornou. — Le lac Tchad.

Départ. — Aspect désolé du pays. — Les Ghouas. — Mabani. — Le mont Délabéda. — Forgeron en plein vent. — Dévastation. — Orage. — Baobab. — Le Mendif. — Les Marghis. — L'Adamaoua. — Mboutoudi. — Proposition de mariage. — Installation de vive force chez le fils du gouverneur de Soulleri. — Le Bénoué. — Yola. — Mauvais accueil. — Renvoi subit. — Les Ouélad-Sliman. — Situation politique du Bornou. — La ville de Yo. — Ngégimi ou Ingégimi. — Chute dans un bourbier. — Territoire ennemi. — Razzia. — Nouvelle expédition. — Troisième départ de Kouka. — Le chef de la police. — Aspect de l'armée. — Dikoua. — Marche de l'armée. — Le Mosgou. — Adishen et son escorte. — Beauté du pays. — Chasse à l'homme. — Erreur des Européens sur le centre de l'Afrique. — Incendies. — Baga. — Partage du butin. — Entrée dans le Baghirmi. — Refus de passage. — Traversée du Chari. — À travers champs. — Défense d'aller plus loin. — Hospitalité de Bou-Bakr-Sadik. — Barth est arrêté. — On lui met les fers aux pieds. — Délivré par Sadik. — Maséna. — Un savant. — Les femmes de Baghirmi. — Combat avec des fourmis. — Cortége du sultan. — Dépêches de Londres.

De Katchéna au Niger. — Le district de Mouniyo. — Lacs remarquables. — Aspect curieux de Zinder. — Route périlleuse. — Activité des fourmis. — Le Ghaladina de Sokoto. — Marche forcée de trente heures. — L'émir Aliyou. — Vourno. — Situation du pays. — Cortége nuptial. — Sokoto. — Caprice d'une boîte à musique. — Gando. — Khalilou. — Un chevalier d'industrie. — Exactions. — Pluie. — Désolation et fécondité. — Zogirma. — La vallée de Foga. — Le Niger. — La ville de Say. — Région mystérieuse. — Orage. — Passage de la Sirba. — Fin du rhamadan à Sebba. — Bijoux en cuivre. — De l'eau partout. — Barth déguisé en schérif. — Horreur des chiens. — Montagnes du Hombori. — Protection des Touaregs. — Bambara. — Prières pour la pluie. — Sur l'eau. — Kabara. — Visites importunes. — Dangereux passage. — Tinboctoue, Tomboctou ou Tembouctou. — El Bakay. — Menaces. — Le camp du cheik. — Irritation croissante. — Sus au chrétien! — Les Foullanes veulent assiéger la ville. — Départ. — Un preux chez les Touaregs. — Zone rocheuse. — Lenteurs désespérantes. — Gogo. — Gando. — Kano. — Retour.

Voyages et aventures du baron de Wogan en Californie (1850-1852.—Inédit).

Arrivée à San-Francisco. — Description de cette ville. — Départ pour les placers. — Le claim. — Première déception. — La solitude. — Mineur et chasseur. — Départ pour l'intérieur. — L'ours gris. — Reconnaissance des sauvages. — Captivité. — Jugement. — Le poteau de la guerre. — L'Anglais chef de tribu. — Délivrance.

Voyage dans le royaume d'Ava (empire des Birmans), par le capitaine Henri Yule , du corps du génie bengalais (1855).

Départ de Rangoun. — Frontières anglaises et birmanes. — Aspect du fleuve et de ses bords. — La ville de Magwé. — Musique, concert et drames birmans. — Sources de naphte; leur exploitation. — Un monastère et ses habitants. — La ville de Pagán. — Myeen-Kyan. — Amarapoura. — Paysage. — Arrivée à Amarapoura.

Amarapoura; ses palais, ses temples. — L'éléphant blanc. — Population de la ville. — Recensement suspect. — Audience du roi. — Présents offerts et reçus. — Le prince héritier présomptif et la princesse royale. — Incident diplomatique. — Religion bouddhique. — Visites aux grands fonctionnaires. — Les dames birmanes.

Comment on dompte les éléphants en Birmanie. — Excursions autour d'Amarapoura. — Géologie de la vallée de l'Irawady. — Les poissons familiers. — Le serpent hamadryade. — Les Shans et autres peuples indigènes du royaume d'Ava. — Les femmes chez les Birmans et chez les Karens. — Fêtes birmanes. — Audience de congé. — Refus de signer un traité. — Lettre royale. — Départ d'Amarapoura et retour à Rangoun. — Coup d'œil rétrospectif sur la Birmanie.

Voyage aux grands lacs de l'Afrique orientale , par le capitaine Burton (1857-1859).

But de l'expédition. — Le capitaine Burton . — Zanzibar. — Aspect de la côte. — Un village. — Les Béloutchis. — Ouamrima. — Fertilité du sol. — Dégoût inspiré par le pantalon. — Vallée de la mort. — Supplice de M. Maizan. — Hallucination de l'assassin. — Horreur du paysage. — Humidité. — Zoungoméro. — Effets de la traite. — Personnel de la caravane. — Métis arabes, Hindous, jeunes gens mis en gage par leurs familles. — Ânes de selle et de bât. — Chaîne de l'Ousagara. — Transformation du climat. — Nouvelles plaines insalubres. — Contraste. — Ruine d'un village. — Fourmis noires. — Troisième rampe de l'Ousagara. — La Passe terrible. — L'Ougogo. — L'Ougogi. — Épines. — Le Zihoua. — Caravanes. — Curiosité des indigènes. — Faune. — Un despote. — La plaine embrasée. — Coup d'œil sur la vallée d'Ougogo. — Aridité. — Kraals. — Absence de combustible. — Géologie. — Climat. — Printemps. — Indigènes. — District de Toula. — Le chef Maoula. — Forêt dangereuse.

Arrivée à Kazeh. — Accueil hospitalier. — Snay ben Amir. — Établissements des Arabes. — Leur manière de vivre. — Le Tembé. — Chemins de l'Afrique orientale. — Caravanes. — Porteurs. — Une journée de marche. — Costume du guide. — Le Mganga. — Coiffures. — Halte. — Danse. — Séjour à Kazeh. — Avidité des Béloutchis. — Saison pluvieuse. — Yombo. — Coucher du soleil. — Jolies fumeuses. — Le Mséné. — Orgies. — Kajjanjéri. — Maladie. — Passage du Malagarazi. — Tradition. — Beauté de la Terre de la Lune. — Soirée de printemps. — Orage. — Faune. — Cynocéphales, chiens sauvages, oiseaux d'eau. — Ouakimbou. — Ouanyamouézi. — Toilette. — Naissances. — Éducation. — Funérailles. — Mobilier. — Lieu public. — Gouvernement. — Ordalie. — Région insalubre et féconde. — Aspect du Tanganyika. — Ravissements. — Kaouélé.

Tatouage. — Cosmétiques. — Manière originale de priser. — Caractère des Ouajiji; leur cérémonial. — Autres riverains du lac. — Ouatata, vie nomade, conquêtes, manière de se battre, hospitalité. — Installation à Kaouélé. — Visite de Kannéna. — Tribulations. — Maladies. — Sur le lac. — Bourgades de pêcheurs. — Ouafanya. — Le chef Kanoni. — Côte inhospitalière. — L'île d'Oubouari. — Anthropophages. — Accueil flatteur des Ouavira. — Pas d'issue au Tanganyika. — Tempête. — Retour.

Fragment d'un voyage au Saubat (affluent du Nil Blanc), par M. Andrea Debono (1855).

Voyage à l'île de Cuba , par M. Richard Dana (1859).

Départ de New-York. — Une nuit en mer. — Première vue de Cuba. — Le Morro. — Aspect de la Havane. — Les rues. — La volante. — La place d'Armes. — La promenade d'Isabelle II. — L'hôtel Le Grand. — Bains dans les rochers. — Coolies chinois. — Quartier pauvre à la Havane. — La promenade de Tacon. — Les surnoms à la Havane. — Matanzas. — La Plaza. — Limossar. — L'intérieur de l'île. — La végétation. — Les champs de canne à sucre. — Une plantation. — Le café. — La vie dans une plantation de sucre. — Le Cumbre. — Le passage. — Retour à la Havane. — La population de Cuba. — Les noirs libres. — Les mystères de l'esclavage. — Les productions naturelles. — Le climat.

Excursions dans le Dauphiné , par M. Adolphe Joanne (1850-1860).

Le pic de Belledon. — Le Dauphiné. — Les Goulets.

Les gorges d'Omblèze. — Die. — La vallée de Roumeyer. — La forêt de Saou. — Le col de la Cochette.

Excursions dans le Dauphiné , par M. Élisée Reclus (1850-1860).

La Grave. — L'Aiguille du midi. — Le clapier de Saint-Christophe. — Le pont du Diable. — La Bérarde. — Le col de la Tempe. — La Vallouise. — Le Pertuis-Rostan. — Le village des Claux. — Le mont Pelvoux. — La Balme-Chapelu. — Mœurs des habitants.

Liste des gravures .

Liste des cartes .

(p. 182) DE SYDNEY À ADÉLAÏDE [1] (AUSTRALIE DU SUD).

NOTES EXTRAITES D'UNE CORRESPONDANCE PARTICULIÈRE. 1860.

.... Le 1 er mars dernier (1860), jour et mois correspondant, ne l'oubliez pas, au 1 er septembre de notre hémisphère, je quittai Sydney, m'acheminant vers le sud dans une charrette à deux chevaux. Une bonne route parallèle à la côte nous conduisit d'abord jusqu'à Campbell-Town . En y arrivant nous apprîmes, à notre grand regret, que le pont de Camden avait été enlevé par les dernières crues; il fallut nous lancer dans un chemin de traverse; quel chemin! (p. 183) Jamais je ne l'oublierai; en partant au point du jour, et ne nous arrêtant qu'à la nuit, nous faisions tant bien que mal nos quinze kilomètres. Mme de Sévigné, mettant vingt journées, au temps du grand roi, pour se rendre de Paris à Grignan, allait d'un meilleur train. Nous arrivâmes le dimanche à Picton, que la pluie continuelle avait mis dans un état de désordre impossible à décrire. C'était un chaos de voitures embourbées, de chariots dans la vase jusqu'à l'essieu, d'hommes démoralisés déclarant qu'ils ne voulaient pas aller plus loin, offrant à tout passant et à tout prix leurs chevaux, leurs voitures et tout leur matériel. On se riait de notre prétention de pousser en avant; mais nous avions pris la vieille devise des Douglas: «Jamais en arrière;» et nous avancions..., non sans grande peine, il faut bien l'avouer. Nous traversâmes le Bargo, moitié flottant, moitié roulant; et bien nous fîmes, car les prudents qui nous blâmaient, la pluie venant de plus belle, eurent huit jours devant eux pour prendre toutes leurs précautions avant de pouvoir guéer la rivière. La malle arrive trop tard pour suivre notre exemple, et, brandissant nos fouets, en signe de triomphe railleur, nous partons pour Benima, où nous arrivons le mercredi au soir; nouveau contre-temps, du magnifique pont de pierre de cette place il ne reste aucun vestige! Que faire? Il y a bien un petit bateau de passage; un canotier hardi nous promet de nous passer avec notre bagage; mais les chevaux, mais notre charrette? On fera passer les animaux à la nage; et on traînera la machine à la remorque. Celle-ci fut assez docile, grâce à une ou deux barriques vides; mais il n'en fut pas de même des quadrupèdes rétifs, et ce ne fut pas sans efforts qu'on les décida à se lancer dans les eaux écumantes. Pendant ce temps, les bourgeois de la localité nous regardaient d'un air narquois et raillaient les chercheurs d'or . Nous passons à leur nez et à leur barbe. Nous arrivons à Goulburn le vendredi, par des chemins affreux, si tant est que cela puisse s'appeler des chemins. Après une halte de deux heures dans ce chef-lieu du comté d'Argyle, nous nous remettons en marche pour Queanbeyan que nous atteignons le dimanche. Là je laisse mes compagnons et la charrette et en me dirigeant sur une ligne d'arbres encoches, j'arrive en deux jours aux mines. J'eus une semaine tout entière à donner à l'examen des mineurs et de leurs travaux avant l'arrivée des bagages, qui mirent neuf jours à venir de Queanbeyan. Rude besogne, par ma foi, pour leurs conducteurs! Il leur fallut décharger plusieurs fois le wagon, faire passer les colis à force de bras par-dessus des troncs d'arbres, puis la charrette; plus d'une fois ils furent sur le point de tout abandonner, bagage et wagon.

Dans mon exploration, pendant mes huit jours de solitude, je vis des mineurs travaillant au bord de la rivière sur une étendue de douze kilomètres environ, les uns heureux, remplissant leur pinte de poudre d'or par jour, les autres, et comme toujours c'est le plus grand nombre, ne faisant rien, bien qu'au milieu des placers les plus riches.

J'allai aussi visiter la ville de Kiandra, qui est situé à environ deux kilomètres des plus beaux claims . Elle ne possède qu'un seul hôtel; il est tenu par un Yankee entreprenant qui se vante de pouvoir loger cent personnes. En y arrivant, je pus remarquer une vingtaine d'hommes qui, se précipitant sur un individu, lui coupèrent les cheveux, lui attachèrent les mains derrière le dos, et lui placardèrent sur les épaules un écriteau de voleur. La bande augmenta en un clin d'œil et deux cents personnes au moins furent à l'œuvre avant la fin de l'opération. Qui avec des courroies ou des étrivières, qui avec des sangles ou des ceintures, tous s'en donnaient à cœur joie sur les épaules du drôle. Je n'ai jamais entendu huer quelqu'un de la sorte; enfin quelques âmes charitables s'interposèrent, et le malheureux, étrillé de façon à s'en ressouvenir, put s'échapper.

.... Le dimanche qui, même dans les placers , devrait être un jour de repos, est ici le pire de toute la semaine: combats de chiens, boxes, querelles, jeu, ivresse, débauche de la plus honteuse espèce, tout est réservé pour le jour du Seigneur. Pendant tout le mois que je restai aux placers , je ne vis pas une seule fois célébrer le dimanche. Il faut reconnaître cependant que la nuit qui le suit et celle qui le précède sont les plus calmes de toute la semaine; on n'y entend pas surtout ces lamentables violons et autres instruments criards que la vieille Europe s'acharne à importer avec elle partout où elle va dresser son foyer ou sa tente!

Le district aurifère, l'Eldorado de la Nouvelle-Galles, s'étend sur les comtés de Murray, de Beresford, de Wallace et de Wellesley. Il forme une ligne onduleuse le long du thalweg des hautes vallées du Morumbidge et de la Snowy, creusées l'une et l'autre entre les Alpes australiennes à l'ouest, la chaîne côtière de la Nouvelle-Galles à l'orient, et descendant, la première au nord et vers l'intérieur du continent, la seconde au sud et vers le détroit de Bass. Au point de partage des eaux de ces vallées, je n'étais qu'à trois ou quatre jours de marche de la ville d'Eden et de Twofold-Bay, où j'étais sûr de trouver un prompt passage pour Sydney. Mais les aventureux habitants de Kiandra me parlèrent d'une route récemment frayée par quelques-uns d'entre eux dans la double direction de Melbourne et d'Adélaïde. Contournant par le nord-ouest la base des Alpes australiennes, elle aboutit à Albury sur le fleuve Murray, parcouru à cette époque de l'année par des bateaux à vapeur. Il y avait là une occasion tentante de voir les plaines de l'ouest, d'étudier les progrès de la colonisation le long des plus grands cours d'eau du continent australien et de vérifier les merveilles de cette Australie du sud, objet de tant de récits et de tant de jalousie de la part des vieux colons de Sydney...; j'y cédai.

Les Alpes australiennes. — Le bassin du Murray. — Ce qui reste des anciens maîtres du sol.

Pendant que mon wagon, mes bagages et la plupart de mes gens filaient vers Twofold-Bay, je leur tournai le dos en ne prenant avec moi que deux hommes, trois chevaux (p. 184) et une demi-douzaine de mâtins et de pointers que de pauvres diables de mineurs m'avaient cédés à grand prix, dans les diggings , et seulement pour m'obliger . Je m'acheminai, à petites journées, à travers les mille vallées qui rayonnent autour des flancs nord et nord-ouest des monts Kosciusko, Balh-Hill, Maragoura, Tennent, Talbingo et Manesranges, etc., et qui portent au Morumbridge et au Murray les eaux de ces Alpes des antipodes. Vous pouvez pointer sur la grande carte de Keith-Johnston la ligne semi-circulaire qui me conduisit de Cooma à Albury par Numit et Bago, localités bien peu connues de vos géographes. Cette ligne parcourt certainement quelques-uns des plus beaux sites que renferme le continent australien; car nulle part, sur cette terre, où la nature semble encore en travail de formation, on ne saurait trouver un ensemble aussi complet de vrais paysages, d'eau et de rochers, de montagnes, de gazons et de bois.

Aussi je me réserve de vous décrire une autre fois, et avec les détails qu'elle mérite, cette partie de mon voyage. Je ne veux aujourd'hui que vous retracer à la hâte les principales impressions qu'elle m'a laissées.

Il y a trente-six ans à peine que les premiers pionniers, partis de Sydney, pénétrèrent dans ces régions; il n'y en a pas vingt-cinq qu'elles furent explorées scientifiquement par Mitchell, et cependant il faudra moins de temps encore pour que l'état originel de la contrée ne se retrouve plus que dans le livre de ce voyageur. Bientôt les chercheurs d'or, les bushmen , la dent et le pied des troupeaux, la charrue et la hache du squatter auront tout changé,—je suis loin de dire tout embelli.

le tour du monde 1867

Australie du sud.—Types indigènes.—Dessin de G. Fath d'après Petermann.

Ce qui m'a le plus frappé, c'est le petit nombre d'indigènes et le peu de gibier que j'ai rencontré sur une ligne de plus de 400 kilomètres, parcourue en chasseur, ma meute en quête et l'œil aux aguets. Animaux et hommes sauvages s'éteignent et fondent ici comme ailleurs au souffle fatal de la colonisation européenne. Les tribus de plusieurs centaines d'individus, que Stuart et Mitchell visitèrent sur les affluents supérieurs du Murray, ne sont plus représentées que par des groupes épars de sept ou huit malheureux affamés. J'ai en vain aussi cherché à découvrir quelqu'un de ces bocages de la mort , qui jadis marquaient le centre de parcours, la terre patrimoniale de chacune de ces grandes tribus, et dont la plume et le crayon de Mitchell nous ont tracé de si remarquables tableaux. Ces poétiques sépultures ont disparu à leur tour; les descendants ont manqué aux aïeux pour entretenir les tumuli de gazon et les petits sentiers sablés qui circonscrivaient, sous l'ombre des eucalyptus et des mélaleucas, les cases de ces échiquiers funéraires. Les pousses de quelques printemps, les pluies d'un petit nombre d'automnes auront suffi pour tout envahir, tout recouvrir ou tout niveler. Si l'on veut voir aujourd'hui une sépulture indigène, il faut aller la chercher dans les déserts dénudés de l'ouest. Là, de loin en loin, quatre branches brutes, fichées en terre et croisées à leur sommet, supportent la dépouille mortelle (p. 186) d'un Australien, ayant pour suaire une peau de kanguroo qui le défend mal contre l'inclémence de l'air et les insultes des oiseaux de proie, jusqu'à ce que la décomposition cadavérique livre ces lamentables restes aux chiens sauvages, accourus à cette curée des quatre aires de l'horizon.

le tour du monde 1867

Sépultures australiennes dans les bois.—Dessin de Lancelot d'après Mitchell.

.... Les aborigènes ont de nombreux vices, il est vrai, mais, nous devons l'avouer, il en est beaucoup qu'ils doivent au contact du monde civilisé; ils sont cruels, durs dans leurs rapports de famille, en un mot, possèdent en grand nombre de ces défauts qui distinguent les tribus sauvages et barbares. Cependant, d'après les observations recueillies depuis vingt ans par tous les directeurs et inspecteurs que l'administration anglaise leur a donnés, les Australiens possèdent des qualités qui pourraient servir d'éléments à la constitution d'un caractère moral d'un ordre plus élevé. Ils ont l'intelligence vive, observent et étudient avec finesse les objets inconnus; leur pouvoir d'imitation est extraordinaire; ils peuvent représenter les objets dans leur exacte proportion, et quand ils examinent un dessin, aucun détail ne leur échappe. Très-habiles à manœuvrer la lance et le boomerang, ils déploient une vraie sagacité dans l'emploi surtout de cette arme de jet, dont le principe scientifique a, jusqu'à ce jour, échappé aux explications de la science.

Rien ne peut égaler l'adresse avec laquelle ils jettent cette arme bizarre qui après avoir frappé le but revient tomber aux pieds de celui qui l'a lancée.

Leurs facultés perceptives sont donc très-développées; mais l'absence des facultés réflectives, et surtout le manque d'esprit de suite dans leurs idées, est le plus grand obstacle à leur civilisation; obstacle sérieux mais non insurmontable, et nous pourrions citer de nombreux cas où l'intelligence supérieure des blancs, aidée de leur dévouement, a su relever des tribus sauvages bien plus dégradées encore.

M. Thomas, le directeur actuel des aborigènes dans le district de Victoria, qui a beaucoup étudié ce sujet, dit que les enfants des deux sexes parviennent aisément à lire et à écrire; qu'ils apprennent facilement par cœur des morceaux de poésie et de chant; qu'ils aiment beaucoup les leçons orales traitant de la géographie, et qu'ils comprennent parfaitement l'usage des cartes.

Un jeune aborigène a eu, deux ans de suite, le prix de géographie à l'école normale de Sydney; mais il était d'une ignorance complète en arithmétique. Les filles comprennent vite les travaux d'aiguille et de couture, et les garçons tout ce qui a trait à l'agriculture et à l'élève des bestiaux.

Comme on a exagéré leurs défauts, on n'a pas manqué d'exagérer leur laideur et leur type. Certes, ce ne sont ni des Apollons ni des Antinoüs; mais parmi nos deux cent cinquante et quelques millions de congénères qui se prétendent fils de Japhet ou de Prométhée, combien y a-t-il de types qui puissent servir de modèle à un statuaire? combien de têtes vraiment belles? Je n'ose répondre.

.... Le teint des Australiens est brun de rouille ou couleur de chocolat; leur grandeur moyenne varie entre cinq pieds quatre pouces et cinq pieds sept pouces (1 m ,62 à 1 m ,72), leur tête est petite, leurs cheveux sont longs, couleur noire de poix, lisses et gros, parfois aussi bouclés et fins; ils ont généralement les lèvres grosses, le nez large et aplati, le front en arrière, mais une denture superbe et de grands yeux vifs. L'abdomen prédominant et les membres grêles dont nos peintres caricaturistes les ont tant gratifiés, ne sont guère leur apanage que dans leur bas âge et quand ils sont mal nourris.

Je le répète, dans tout travail qui exige l'emploi des facultés perceptives, l'aborigène est supérieur au blanc. Les enfants nés de parents européens et élevés en Australie semblent acquérir à un haut degré cette extraordinaire faculté de perception qui caractérise les indigènes.

Jusqu'à présent on a été injuste, inhumain à leur égard. Les blancs ne se sont pas fait faute de les tuer en grand nombre sans plus de souci que du gibier: on les a expulsés des endroits qu'ils occupaient, on leur a pris leur terrain de chasse sans se préoccuper le moindrement de leurs moyens d'existence. Il faut dire qu'ils étaient peu nombreux, sans chefs, et qu'ils fuyaient à l'approche des blancs. Ils n'ont pas, comme les nouveaux Zélandais, résisté les armes à la main aux envahissements des colons. Eussent-ils été plus puissants, les Européens seraient arrivés à composer plus équitablement avec eux. Dans les deux millions cinq cent mille kilomètres carrés de la province de Victoria, il est à peine un endroit où un aborigène puisse trouver le repos; le bétail, dit-on, ne veut pas rester là où habitent les noirs, et trop souvent le blanc n'a pas hésité à sacrifier les quelques noirs qui s'opposaient à l'installation de ses bœufs et de ses moutons.

Navigation sur le Murray. — Frontières de l'Australie du sud Le lac Alexandrina. — Le Kanguroo rouge.

Ayant trouvé à Albury un petit steamer qui, pour la première fois, avait pu remonter jusque-là, je m'y embarquai, et après huit jours d'une navigation régulière sur le Murray, nous franchîmes le cent quarante et unième méridien de longitude, qui forme la ligne de démarcation entre la colonie de Victoria et celle de South-Australia. Nous fîmes aussi nos adieux à la Nouvelle-Galles qui, jusque-là, avait été limitée par la berge de droite de la rivière. L'abondance de beurre, d'œufs, de lait, etc., que nous trouvâmes à la première escale, après avoir franchi la limite de ces deux provinces, me démontra clairement la supériorité de l'esprit industrieux des colons du sud sur celui de leurs voisins de l'est.

Map.

Au delà de ce point, le fleuve se replie vers le sud, en se dirigeant directement vers la mer. Les falaises de roches, qui bordent son cours inférieur, sont de plus en plus rapprochées et de plus en plus élevées. Elles consistent en grès jaune, alternant avec des couches de calcaire, remarquables par leur horizontalité. Lentement désagrégées par l'action de l'atmosphère pendant (p. 188) des siècles, leur stratification toutefois s'est ajustée au niveau de l'eau avec une précision mathématique. Ces roches sont percées de trous en tout sens, creusés, dans le but d'y nicher, par les kakatoès blancs, aussi bien que par d'autres oiseaux. Sur la saillie d'une de ces roches, fort près de l'eau et dans un voisinage très-solitaire, je ne fus pas peu surpris de voir un lapereau sautillant deçà et delà. Il faut croire que quelques sujets de cette espèce ont été mis en liberté en cet endroit par un naturaliste philanthrope, et qu'ils se sont multipliés.

Le onzième jour de notre navigation nous débouchâmes avec le fleuve dans le lac Alexandrina. Il est difficile de calculer la distance parcourue par la vapeur, tant à cause des innombrables méandres que décrit le Murray, qu'à cause des arrêts que l'on fait en route; néanmoins on estime généralement la portion navigable du Murray à environ deux mille kilomètres, ce qui est suffisant, je pense, pour faire de ce fleuve un cours d'eau respectable.

Le lac Alexandrina, dans lequel il débouche, présente la plus belle nappe d'eau douce que j'aie jamais vue. Car, agitée comme elle l'était sous l'effort d'un vent qui soufflait assez rudement pour tourner le cœur à qui n'avait pas pied marin, on l'eût prise pour tout autre chose qu'un bassin continental. Il mesure quarante à cinquante milles de long sur douze à quinze de large, et ses bords s'abaissent et s'effacent à l'horizon de manière à rappeler les grèves de la mer.

Goolwa, qui commande l'entrée et la sortie du Murray, est le point de cette navigation intérieure le plus rapproché d'Adélaïde; c'est une ville naissante de peu d'étendue et sans prétentions. Au port Elliot, situé dans la baie Enconter, il y a une voie ferrée fort bien faite, qui dessert à bon marché les navires en chargement pour l'exportation, ainsi que ceux qui apportent à la colonie les produits du dehors. Cette voie ferrée mérite d'être étudiée; elle traverse sept milles de pays assez favorables à sa construction, qui est formée de rails de fer placés sur des traverses de bois. Elle est desservie par des chevaux. Deux de ces animaux peuvent y mouvoir quatorze tonnes au trot, et elle n'a coûté que quarante-sept mille francs par kilomètre.

.... C'est dans le trajet de ce port à Adélaïde, trajet que je fis non par la grande route, mais à petites journées, à travers champs et avec force zigzags, comme un homme venu de loin pour étudier le pays, que je tuai pour la première fois un kanguroo rouge ( macropus giganteus ), tout à la fois le plus grand spécimen de son espèce et le plus grand animal de l'Australie; il est aussi le plus rare. Quand les chiens approchent d'une bande de ces animaux, le vieil homme , comme l'appellent les Bushmen , c'est-à-dire le plus vieux mâle, s'arrête, s'appuyant contre un tronc d'arbre, s'il s'en trouve dans le voisinage, et se tenant dressé sur ses jambes de derrière, il attend tranquillement l'attaque. Il est peu de vieux chiens qui osent se lancer franchement sur lui, car les kanguroos se servent si habilement de leurs pieds de derrière qu'un chien qui attaque sans précaution vient s'y embrocher comme sur un épieu, et se trouve rejeté au loin, le ventre ouvert et les entrailles pendantes. Ces kanguroos sont si vigoureux que, s'il se trouve une mare dans le voisinage, ils saisissent les plus gros dogues entre leurs pattes antérieures, et bondissent à l'eau où ils piétinent le chien jusqu'à ce qu'il soit noyé. Dans l'occasion dont il s'agit, j'étais en chasse avec une laisse de chiens superbes, dans le Bush qui couvre les falaises de la presqu'île d'York, entre les golfes Spencer et Saint-Vincent. Mes chiens firent lever un forestier rouge , le plus grand que j'aie jamais vu. Pendant trois kilomètres environ, nous eûmes une chasse splendide; ayant alors fait face aux chiens, mon vieux kanguroo en éventra un, puis se dirigea en droiture vers la grève; il y avait bonne brise nord; Fango, un énorme griffon au poil rude, pressait le kanguroo qui filait toujours vers la mer; j'étais bien loin de penser au parti qu'il allait prendre. À mon profond étonnement, mon vieil homme de la falaise, peu élevée à l'endroit où il se trouvait, saute sur la plage, traverse résolument le ressac qui battait violemment la côte; Fango le suit, se jette à l'eau. Aussitôt en dehors du ressac, le kanguroo ayant la tête et les épaules hors de l'eau se retourne, et attend, calme et tranquille, mon chien qui nageait courageusement pour l'atteindre. Il savait bien ce qu'il faisait, le vieux rusé; il avait l'œil sur Fango, et avant que celui-ci eût pu lui sauter à la gorge, il le saisit avec ses pattes antérieures, le tenant très-soigneusement sous l'eau. Ceci se passa en moins de temps que je ne mets à l'écrire. L'air grave et tranquille du vieil homme passe tout ce qu'on peut imaginer; je ne puis mieux comparer son occupation qu'à celle d'une blanchisseuse plongeant et replongeant dans l'eau son linge qui remonte toujours à la surface. Mais cela ne pouvait durer; mon chien allait se noyer; j'entrai sans hésiter dans le ressac, tenant un fusil élevé le plus possible au-dessus de ma tête pour le garantir de l'eau: je ne pouvais, du reste, tirer que de très-près, n'ayant que du plomb dans mes canons. Je m'avançai tant que je pus, j'avais de l'eau jusque sous les bras, quand je me décidai à tirer; j'ajustai soigneusement, mais sans aucun résultat que de changer la scène. Le kanguroo abandonna mon chien et vint à moi, bondissant et éclaboussant. «Attention! pensai-je, si je ne te tue pas, tu me noieras.» Je gardai mon fusil à l'épaule, l'attendant très-sérieusement, je vous assure, et quand il fut assez près, si près qu'il touchait mon canon, j'appuyai le doigt sur la gâchette: il tomba roide mort. Fango, remis de son bain un peu forcé, m'aida à amener le vieil homme sur la plage, et ce ne fut pas sans peine.

La colonie de l'Australie du sud. — Adélaïde. — Culture et mines.

En visitant la colonie de l'Australie du sud, je m'attendais à y rencontrer l'association d'une industrie intelligente avec de sérieuses applications pratiques, le tout sans les détails insignifiants, inséparables d'une communauté restreinte. J'avais connu, pendant nombre d'années, de très-intelligents colons de ce pays qui m'avaient (p. 190) paru singulièrement enthousiastes dans leurs appréciations des nombreuses vertus de leur colonie. Je ne me sentais guère entraîné à leur donner pleine confiance, car l'exagération de leurs éloges me portait à réagir intérieurement. Ces colons me semblaient par trop entraînés par leurs sentiments personnels, et, bien que j'aime l'enthousiasme, je m'en méfie.

le tour du monde 1867

Sépulture australienne au désert.—Dessin de Doré d'après un ouvrage intitulé: The Rambles at the Antipodes (Excursion aux antipodes).

Mais la seule vue d'une portion fort limitée de l'Australie du sud me convainquit qu'il y avait réellement dans cette colonie les éléments capables d'exciter les sympathies et de justifier les éloges de quiconque est l'ami des terres australiennes. Dès le premier pas que je fis en dedans de sa frontière, je fus à même de constater un développement remarquable de patiente et laborieuse industrie. Le même esprit règne dans toute la colonie. Les ressources ne sont peut-être pas à comparer avec celles d'un voisinage plus favorisé, mais quelles qu'elles soient, elles sont développées avec autant d'intelligence que d'activité. Aussitôt que l'on arrive au lac Alexandrina, des terrains en pleine culture, des habitations confortables, des moulins à vapeur, des centres de populations prospères apparaissent de toutes parts, et l'on se sent dans un pays où tous les besoins d'un peuple civilisé peuvent facilement trouver satisfaction.

Rarement j'éprouvai une sensation plus agréable que celle que me procura la vue soudaine de Villianga, un charmant hameau situé à mi-route de Goolwa à Adélaïde. Nous avions chassé tout le jour et sans beaucoup de succès à travers une contrée misérable et stérile; notre patience était à bout comme nos forces. Les broussailles de gommiers, une incessante succession de coteaux poussiéreux, n'avaient été qu'imparfaitement compensés par quelques belles échappées et par une abondance de ces belles fleurs sauvages que l'Australie semble réserver aux parties de son sol les plus ingrates, lorsque soudain, au déclin du soleil, les tristes broussailles parurent s'évanouir et le spectacle qui s'offrit à nous ne ressembla à rien de ce que j'avais vu depuis mon départ d'Angleterre. Du haut de la colline où nous étions, on aperçoit une étendue de pays de plusieurs milles de rayon; et du nord au sud, de l'est à l'ouest, jusqu'à la mer qui borne l'horizon, ce ne sont que terres cultivées. À trente milles de là, les brumes d'une grande ville indiquent l'emplacement d'Adélaïde, et de tous côtés les flancs émaillés des légères collines, les clôtures qui s'étendent dans la plaine, les jardins bordés de haies, les vergers plantureux, les habitations confortables signalent la présence d'une race agricole active et industrieuse, qui a su échapper aux griffes du plus détestable des propriétaires, le gouvernement. Là des moissons verdoyantes dont la tendre coloration contraste avec les blondissantes céréales qui, semées en hiver, se parent BOUT la moisson prochaine; ici un champ fraîchement labouré dont les teintes sombres décèlent la richesse du sol; plus loin, des prés, des foins en meules embaument l'air, tout, en un mot, révèle un grand pays agricole.

Depuis longtemps mon regard ne s'était pas reposé sur une aussi grande étendue de terres cultivées. Ce fut comme la réalisation d'un rêve; car, à Sydney, pendant des années, je m'étais efforcé, dans mon humble sphère, d'attirer l'attention de mes voisins sur la possibilité d'entrer dans cette voie, avec un pays aussi plein de ressources que le leur, et de leur démontrer la nécessité d'en finir avec le vieux système de monopole et d'exiger du sol le meilleur produit possible. J'appuyais surtout, de mon mieux, sur la culture variée, l'extension des terres cultivées, du jardinage, le développement des vergers, les essais de viticulture; mais en vain, et ici je trouvais mes idées réalisées et les résultats pratiques de tout ce que j'avais prêché théoriquement.

À partir de ce jour, je visitai les localités les plus intéressantes de l'Australie méridionale, et rien n'est venu détruire cette première impression. C'est l'Angleterre, mais l'Angleterre sans ses monstrueuses anomalies d'extravagantes richesses, auxquelles des misères profondes servent de cadre. C'est l'Angleterre avec un beau climat, un sol vierge, avec la liberté sans ses antiques abus; c'est l'Angleterre avec des institutions plus généreuses, avec des citoyens plus libres.

Le système territorial de l'Australie du sud est basé sur une division de quatre-vingts acres, servant de base fixe, et toute la superficie du pays est divisée en lots de même grandeur. C'est une étendue bien calculée. Un bon agriculteur sait qu'avec le travail intelligent d'une année il peut mettre de côté deux mille francs, et ses efforts tendent à réaliser cette somme.

Chaque jour il apprend à utiliser ses connaissances agronomiques dans un nouveau climat, et il connaît de mieux en mieux le terrain où il pourra fonder un établissement. Après l'acquisition de la terre il peut encore avoir besoin de travailler afin d'enclore son terrain, d'acheter un attelage de bœufs ou une paire de chevaux. Enfin il arrive à posséder un établissement à lui, et il se met courageusement à l'œuvre pour devenir un fermier indépendant. La première récolte lui laissera probablement des ressources, la deuxième le mettra à même d'acheter une ou deux parcelles attenantes à la sienne, et ainsi, graduellement, il arrive à être un propriétaire aisé et en agriculteur considérable, sans toutefois que la progression lui tourne la tête et l'entraîne à des erreurs, mais cependant avec assez de rapidité pour soutenir son énergie. C'est ainsi que le nombre croissant de pareils hommes a amené l'Australie méridionale au point de prospérité où elle se trouve, et l'on pourra avantageusement comparer cette race d'industrieux travailleurs avec n'importe quelle autre au monde. Pour démontrer la différence de cette colonie avec Victoria sa voisine, il me suffira de citer la dépense d'hôtel que je fis la dernière fois que je fus à Melbourne, où je payais cinq francs soixante centimes pour chaque repas. Dans le premier hôtel de l'Australie du sud, je payai deux francs cinquante centimes pour un repas plus abondant et de meilleure qualité.

Deux choses me frappèrent dans mes excursions au (p. 191) travers du pays, le nombre des moulins et celui des enclos formés de haies vives.

Je considère que l'existence de nombreux moulins est un symptôme de vitalité dans une colonie dont toutes les tendances se dirigent vers l'agriculture. Quant aux haies, il est curieux de voir combien Victoria en manque, en la comparant avec les colonies limitrophes. Dans l'île de Tasmanie, tout le pays est divisé par des haies épaisses d'églantiers, dont l'effet charme et la vue et l'odorat, l'air en est embaumé. Dans l'Australie du sud l'on se sert de l'acacia épineux que fournit, je pense, l'île des Kanguroos et qui forme d'excellentes haies. Il pousse vite, et, bien mené, il forme une palissade épaisse qui garantit admirablement les jardins et les vergers. Son seul inconvénient est d'être facilement détruit par le feu, même à l'état vert. La généralité des haies ajoute encore ici à l'apparence cultivée du pays, et vous fait faire un triste retour sur la nudité des poteaux et des pieux qui bornent les propriétés dans les banlieues de Sydney et de Melbourne.

Quelques avantages que l'on puisse trouver dans les districts ruraux de cette colonie, on ne saurait cacher les désagréments de ses villes. Adélaïde est située assez avantageusement, même judicieusement, et toutefois, pendant plusieurs mois de l'année, elle est complétement inhabitable, et en cela aussi mal appropriée à la résidence de l'homme que Melbourne, que l'on vante tant et pour les mêmes causes. D'abord la poussière y est insupportable; on me décrivait une fois Adélaïde comme une ville où, dès le matin, on devait se laver la bouche avant de pouvoir parler, et où, pendant le jour, on entendait ses paupières crier quand on clignait des yeux. Je n'en avais rien voulu croire, mais mon expérience personnelle me fit reconnaître que l'état poudreux d'Adélaïde, tel que l'on me l'avait décrit, n'était que légèrement exagéré.

Sans cet inconvénient, la ville serait agréable, et l'on conçoit difficilement que dans une agglomération d'habitants comme celle que l'on trouve dans nos villes d'Australie, telles que Melbourne, Sydney, Adélaïde ou Hobart-Town, l'on n'ait jamais songé à adopter des mesures tendant à faire disparaître les inconvénients de la saleté et de la poussière.

La population d'Adélaïde commence à donner le bon exemple d'élever des plantations en ville. Les particuliers peuvent planter devant leurs propriétés, et la municipalité a fait garnir le pourtour de la ville et les places d'arbres d'ornement.

Adélaïde est bâtie dans une vaste plaine limitée par le Torrens qui l'alimente d'eau. Cette rivière est insignifiante, pendant l'été surtout, et n'a guère plus d'eau à cette époque que les torrents algériens ou andalous; toutefois, si peu abondante que soit l'eau, elle ne tarit pas et est d'assez bonne qualité. D'un côté Adélaïde est abritée par une rangée de coteaux d'une grande beauté. Ces collines sont distantes entre elles de cinq milles à peu près; la plus haute mesure, dit-on, deux mille pieds. Elles courent depuis les plaines de la côte jusqu'au district de Burra, pendant l'espace d'une centaine de milles, et présentent partout un charmant aspect. Légèrement ondulées, tantôt couvertes de bois, tantôt arrondies en dômes, accidentées de mille manières pittoresques, jamais elles ne fatiguent l'œil qui se repose sur la succession de leurs contours. Que le soleil se lève, qu'il plane au zénith ou qu'il se couche, elles présentent mille beautés de lumière et d'ombre, auxquelles s'ajoutent les caprices des nuages qu'entraîné le vent; puis, ça et là au milieu des cultures, des parcelles d'un vert intense ajoutent aux aspects d'un paysage où l'on sent l'action de la main de l'homme.

Les jardins des environs d'Adélaïde sont plus nombreux que dans les autres colonies; très-étendus, bien cultivés, ils sont d'un bon rapport. Pendant la saison, les fruits abondent, depuis la grosse groseille jusqu'à l'orange. Il y a de grands jardins plantés d'oliviers, mais, à ma grande surprise, on n'utilise pas leurs fruits, qui tombent et noircissent le sol où ils pourrissent; les frais pour l'extraction de l'huile ou pour conserver les olives sont encore si élevés qu'on est forcé de perdre la récolte, et à ce sujet un jardinier m'avoua avoir offert toute la sienne à qui pourrait l'utiliser, et n'avoir pas trouvé d'amateur.

Les orangers sont, au contraire, cultivés avec succès par plusieurs colons. J'en ai vu chez un seul propriétaire une plantation de sept acres, et, bien que jeunes encore, les arbres sont vigoureux et commencent à rapporter abondamment. La culture n'en est pas très-développée, mais aussitôt que l'usage de ce précieux fruit s'étendra, les jardiniers qui y ont consacré leurs soins en retireront de bons revenus. La vigne aussi est cultivée sur une grande échelle; on connaît le beau raisin qu'expédié Adélaïde; on n'en a pas vu de pareils dans les autres parties de l'Australie. La fabrication du vin prend de l'extension, et la qualité des produits est aussi bonne que celle des meilleurs crus de la Nouvelle-Galles méridionale. Peut-être ont-ils un goût de terroir trop prononcé. Mon opinion est que les vignes sont plantées dans une terre trop forte, et le colon, habitué à faire fructifier la meilleure terre possible, applique les mêmes principes à la culture de la vigne que ceux qui conviennent à celle du blé et de la pomme de terre. Mais ce sont là des défauts que le temps et l'expérience corrigeront. Enfin, à l'honneur de cette jeune colonie, on doit constater qu'elle a déjà mis en culture au moins 15 000 hectares de plus que chacune de ses deux aînées, la Nouvelle-Galles et Victoria, bien plus riches et bien plus peuplées.

Les chemins de fer et le télégraphe progressent assez lentement. Une ligne ferrée relie Adélaïde avec le port et s'étend jusqu'à Gawler-Town, à vingt-cinq milles dans l'intérieur, dans la direction des grandes mines de cuivre de Burra.

Le télégraphe électrique qui communique avec Victoria doit se relier avec Sydney; son installation laisse bien quelque chose à désirer; mais il faut un peu d'indulgence pour l'application d'une découverte si récente (p. 192) de la science du vieux monde, dans un monde né d'hier en quelque sorte.

le tour du monde 1867

Restes d'un voyageur retrouvé par ses compagnons dans les déserts du lac Torrens.—Dessin de Doré d'après the Rambles at the Antipodes .

Le point le plus intéressant à visiter dans l'Australie méridionale est la belle mine de cuivre de Burra. Située au nord d'Adélaïde, elle est éloignée de cette ville d'à peu près cent milles. On peut s'y rendre en voyageant toujours en plaine le long de la ligne des charmants coteaux dont je vous ai parlé. Les premiers vingt-cinq milles se font en chemin de fer, et puis on prend la voiture, qui vous mène par une route assez bonne en général, mais parfois détestable. La mine de Burra présente une scène des plus animées. Neuf cents hommes et enfants y sont employés par la Compagnie à extraire la gangue et à la travailler pour la livrer au commerce. Une autre compagnie se charge de la fonte, elle achète la matière première à la compagnie minière et la réduit en cuivre pur pour être expédié. Les mines par elles-mêmes sont de grande étendue, le gisement des filons varie entre une profondeur de quelques mètres et celle de cent dix; et le système des galeries peut présenter un développement de près de six milles. Cette mine a déjà donné aux actionnaires plus que soixante-deux fois le capital premier, et elle progresse encore! Il y a d'autres mines à Kapunda et dans d'autres localités, mais aucune ne saurait être comparée en rendement et en étendue avec celle-ci. J'ai encore bien des observations à vous communiquer sur l'Australie méridionale et sur les entreprises récentes tentées, avec un égal enthousiasme, et par les particuliers et par le gouvernement local pour l'exploration de l'intérieur du continent; entreprises qui viennent d'illustrer les noms des voyageurs Stuart , Babbage, Warburton , Hack, du gouverneur Mac-Donel lui-même, et qui ne sont ni sans grandes fatigues, ni sans grands dangers, témoin ce pauvre Coulthard, mort de soif dans le désert, où il s'était égaré, et retrouvé plusieurs semaines après, sa main de squelette encore étendue sur une cantine en étain, où il avait gravé ses dernières impressions d'agonie!!! Laissez-moi terminer cette lettre en vous affirmant qu'en dépit des richesses minérales que j'ai contemplées de mes yeux ou touchées du doigt depuis quelques mois, je vivrai et je mourrai dans la conviction que le vrai bonheur est étroitement associé aux opérations agricoles, au bon marché et à l'abondance des simples biens dus à la fécondité de noire mère la terre.

  • Dessinateurs.
  • Chapelle de Sainte-Rosalie (près Palerme). Rouargue.
  • Types et costumes siciliens. Rouargue.
  • Ruines à Girgenti (Agrigente). Rouargue.
  • Vue de Syracuse. Rouargue.
  • Taormine et l'Etna. Rouargue.
  • La Marine à Messine. Rouargue.
  • Rocher de Scylla. Rouargue.
  • Stromboli. Rouargue.
  • Pigeonnier près d'Ispahan. Jules Laurens.
  • Pont d'Allah-Verdi-Khan sur le Zend-è-Roud, à Ispahan. Jules Laurens.
  • Collége de la Mère du roi, à Ispahan. Jules Laurens.
  • Une peinture indienne dans le palais des Quarante-Colonnes, à Ispahan. Jules Laurens.
  • Entrée de Kaschan. Jules Laurens.
  • Une caravane persane au repos. Jules Laurens.
  • Types persans. Jules Laurens.
  • Faubourg de Téhéran. Jules Laurens.
  • La porte de Schah-Abdoulazim. Jules Laurens.
  • Dans une cour, à Téhéran. Jules Laurens.
  • Types et portraits persans. Jules Laurens.
  • Groupe de Persans. Jules Laurens.
  • Dans l'Enderoun (appartement intérieur — Costumes d'intérieur et de sortie). Jules Laurens.
  • Choix d'armes, d'instruments et objets divers persans. Jules Laurens.
  • Le Démavend. Jules Laurens.
  • Vue de l'île Saint-Thomas. de Bérard.
  • Saint-Pierre, à la Martinique. de Bérard.
  • Cataracte de Weinachts (Guyane anglaise). de Bérard.
  • Une sucrerie à la Guadeloupe. de Bérard.
  • La Pointe-à-Pître, à la Guadeloupe. de Bérard.
  • Le port d'Espagne, à la Trinidad. de Bérard.
  • La baie de Panama. de Bérard.
  • Vue des Bermudes. de Bérard.
  • Costumes norvégiens d'Hitterdal. Pelcoq.
  • La vallée de Bolkesjö. Doré.
  • Costumes du Télémark. Pelcoq.
  • La vallée de Vestfjordal. Doré.
  • Intérieur d'auberge à Bolkesjö. Lancelot.
  • Église d'Hitterdal. Wormser.
  • Le Rjukandfoss. Doré.
  • Un chalet à Bamble. Lancelot.
  • Vue du lac Bandak. Doré.
  • Le lac Flatdal. Doré.
  • Fjord de Gudvangen. Doré.
  • Église de Bakke. Doré.
  • Route de Stalheim. Doré.
  • Le Vöringfoss. Doré.
  • Vallée de l'Heimdal. Doré.
  • Femme du Sogn. Pelcoq.
  • Une noce en Norvége. Pelcoq.
  • Le marché aux grains (Suez). Karl Girardet.
  • Port de Suez. Karl Girardet.
  • Cimetière européen à Suez. Karl Girardet.
  • Qosséir. Karl Girardet.
  • Djeddah. Karl Girardet.
  • Port de Souakin. Karl Girardet.
  • Mosquée de Salonique. Karl Girardet.
  • Femmes albanaises, près d'un arabas, à Vasilika. Villevieille.
  • Un Juif de Salonique. Bida.
  • Une Juive de Salonique. Bida.
  • Sceau du monastère de Kariès.
  • Vue générale de mont Athos. Villevieille.
  • Le Conseil des Épistates au mont Athos. Boulanger.
  • Saint Georges (fresque de Panselinos dans le Catholicon de Kariès). Pelcoq.
  • Monastère d'Iveron. Karl Girardet.
  • L'higoumène d'Iveron. Pelcoq.
  • La Phiale ou le Baptistère du couvent de Lavra. Lancelot.
  • Croix sculptée en bois dans le trésor de Kariès. Thérond.
  • Coffret dans le trésor de Kariès. Thérond.
  • Peinture de la trapeza de Lavra: les trois patriarches. Thérond.
  • La confession. Bida.
  • Bas-relief du couvent de Vatopédi. A. Proust.
  • Albanais, soldat de la garde des Épistates. Villevieille.
  • Vue du couvent d'Esphigmenou. Karl Girardet.
  • Intérieur de la cour principale du couvent slave de Kiliandari. Lancelot.
  • La récolte des noisettes au mont Athos. Villevieille.
  • L'île Chatam, dans l'archipel Galapagos. E. de Bérard.
  • Baie de la Poste, dans l'île Floriana (archipel Galapagos). E. de Bérard.
  • L'île Charles, dans l'archipel Galapagos. E. de Bérard.
  • Aiguade de l'île Charles (archipel Galapagos). E. de Bérard.
  • Oiseaux et reptile (archipel Galapagos). Rouyer.
  • Côtes de l'île Albermale, dans l'archipel Galapagos. E. de Bérard.
  • Oeno, dans l'archipel Pomotou (îles à coraux). E. de Bérard.
  • Village de Vanou, dans l'île de Vanikoro (îles à coraux). E. de Bérard.
  • Baie de Manevai, dans l'île de Vanikoro (îles à coraux). E. de Bérard.
  • Récifs et piton de l'île de Borabora (îles à coraux). E. de Bérard.
  • Rade et pic de l'île de Borabora (îles à coraux). E. de Bérard.
  • Île de Whitsunday, dans l'archipel Pomotou (îles à coraux). E. de Bérard.
  • Brun-Rollet. Fath.
  • Traîneau yakoute. Victor Adam.
  • Une sorcière tongouse. Victor Adam.
  • Port d'Okhotsk. Victor Adam.
  • Bazar de Nertchinsk. Victor Adam.
  • Colonie ou village yakoute. Victor Adam.
  • Voyageur russe en Sibérie. Victor Adam.
  • Argali (mouton sauvage). Victor Adam.
  • Campement de Tongouses. Victor Adam.
  • Chamans yakoutes. Victor Adam.
  • Femme yakoute. Victor Adam.
  • Poteaux des frontières du pays des Yakoutes et de la Chine. Victor Adam.
  • Types indigènes (Australie du Sud). G. Fath.
  • Sépultures australiennes dans les bois. Lancelot.
  • Sépulture australienne au désert. Doré.
  • Restes d'un voyageur retrouvés par ses compagnons dans les déserts du lac Torrens. Doré.
  • Oasis d'Éderi (Fezzan). Rouargue.
  • Mourzouk (capitale du Fezzan). Rouargue.
  • Gorge d'Agueri. Lancelot.
  • Vallée d'Auderaz. Rouargue.
  • Vue d'Agadez. Lancelot.
  • Vue de Kano (entrepôt du Soudan central). Lancelot.
  • Dendal ou boulevard de Kouka (capitale du Bornou). Lancelot.
  • Vue du lac Tchad. Rouargue.
  • Village marghi. Rouargue.
  • Halte dans une forêt du Marghi. Rouargue.
  • Village mosgou. Rouargue.
  • Chef mosgovien. Rouargue.
  • Intérieur d'une habitation mosgovienne. Rouargue.
  • Chef kanembou. Rouargue.
  • Entrée du sultan de Baghirmi dans Maséna (sa capitale). Rouargue.
  • Une razzia à Barea (Mosgou). Rouargue.
  • Vue du marché de Sokoto. Hadamard.
  • Bac sur le Niger, à Say. Rouargue.
  • Vue des monts Homboris. Lancelot.
  • Village sonray. Lancelot.
  • Vue de Kabra (port de Tembouctou). Rouargue.
  • Camp touareg. Lancelot.
  • Arrivée à Tembouctou. Lancelot.
  • Vue générale de Tembouctou. Lancelot.
  • Portrait en pied du baron de Wogan en costume de voyage. J. Pelcoq.
  • Grass-Valley. J. Pelcoq.
  • Un claim ou atelier de mineur. J. Pelcoq.
  • Forêt de taxodium giganteum ou pins géants. Lancelot.
  • Un cañon ou passage de la Sierra-Wah. Lancelot.
  • La case du jugement. J. Pelcoq.
  • Le poteau de la guerre. J. Pelcoq.
  • Types d'Indiennes du Rio-Colorado. J. Pelcoq.
  • Grande pagode de Rangoun. Français.
  • Bateau à voile sur l'Irawady. Cliché anglais.
  • Canot de parade. Cliché anglais.
  • Bateau de commerce. Cliché anglais.
  • Birmans dans une forêt. J. Pelcoq.
  • Pattshaing ou tambour-harmonica. Cliché anglais.
  • Pattshaing à baguettes. Cliché anglais.
  • Harpe birmane. Cliché anglais.
  • Harmonica birman. Cliché anglais.
  • Pagode à Pagán. Cliché anglais.
  • Représentation théâtrale dans le royaume d'Ava. Hadamard.
  • Dagobah ou pagode en forme de cloche. Cliché anglais.
  • Intérieur d'une pagode. Cliché anglais.
  • Maison de l'ambassade à Amarapoura. Cliché anglais.
  • Vallée des puits de bitume. Karl Girardet.
  • Types de grands seigneurs et hauts fonctionnaires birmans. Morin.
  • Le palais du roi et l'éléphant blanc. Navlet.
  • Sculptures comiques dans le monastère royal à Amarapoura. Lancelot.
  • Vue du Maha-Toolut-Boungyo (monastère royal à Amarapoura). Lancelot.
  • Détails intérieurs du Maha-comiye-peima à Amarapoura. Navlet.
  • Une porte à Amarapoura. Cliché anglais.
  • Canon birman. Cliché anglais.
  • Danse des éléphants. Cliché anglais.
  • Canal d'irrigation dans le royaume d'Ava. Cliché anglais.
  • Jeunes dames birmanes. Morin.
  • Le temple du Dragon. Lancelot.
  • Rives de l'Irawady (près des mines de rubis). Cliché anglais.
  • Petite pagode à Mengoun. Cliché anglais.
  • Grand temple de Mengoun (depuis le tremblement de terre de 1839). Karl Girardet.
  • Vallée de l'Irawady au confluent du Myit-Nge. Paul Huet.
  • Temple ruiné à Pagán. Lancelot.
  • Salces ou volcans de boue à Membo. Cliché anglais.
  • Cônes volcaniques dans la plaine de Membo. Cliché anglais.
  • Paysans birmans en voyage. Cliché anglais.
  • Statue gigantesque de Bouddha à Amarapoura. Lancelot.
  • Zanzibar vue de la mer. E. de Bérard.
  • Portrait de feu l'iman de Zanzibar. E. de Bérard.
  • Pont de la ville de Zanzibar. E. de Bérard.
  • Un village de la Mrima. Lavieille.
  • Jihoué la Mkoa ou la roche ronde. Cliché anglais.
  • La fontaine qui bout (source thermale dans le Khoutou). Cliché anglais.
  • Sycomore africain. Cliché anglais.
  • L'Ougogo. Cliché anglais.
  • Burton et ses compagnons en marche. Lavieille.
  • Chaîne côtière de l'Afrique occidentale. Lavieille.
  • Passe dans l'Ousagara. Lavieille.
  • Paysage dans l'Ounyamouézi. Lavieille.
  • Noirs de l'Ousumboua. G. Boulanger.
  • Huttes à Mséné. Lavieille.
  • Nègres porteurs. G. Boulanger.
  • Noir de l'Ouganda. G. Boulanger.
  • Habitation de Snay ben Amir à Kazeh. Lavieille.
  • Jeunes dames à Kazeh. G. Boulanger.
  • Coiffures des indigènes de l'Ounyanyembé. Cliché anglais.
  • Coiffures des indigènes de l'Oujiji. Cliché anglais.
  • Maison des étrangers à Kaouélé. Lavieille.
  • Navigation sur le lac Tanganyika. Lavieille.
  • Le capitaine Burton sur le lac Tanganyika. Lavieille.
  • Habitation au bord du lac Tanganyika. Lavieille.
  • Le bassin du Maroro. Lavieille.
  • Instruments et ustensiles des Ouajiji. Cliché anglais.
  • Riverains du Tanganyika (côté ouest). Cliché anglais.
  • Riverains du Tanganyika (côté sud). Cliché anglais.
  • Le bassin du Kisanga. Lavieille.
  • Végétation de l'Ougogi. Lavieille.
  • Passe de l'Ouzagara. Cliché anglais.
  • Rocher de l'Éléphant près du cap Gardafui. Cliché anglais.
  • Dernier établissement égyptien dans le Fazogl. Lancelot.
  • Contrée des Shelouks sur le Saubat. Lancelot.
  • Bélénia (village bari sur le fleuve Blanc). Lancelot.
  • Habitants de la Havane. Potin.
  • Coolies chinois à Cuba. Pelcoq.
  • Vue générale de la Havane (capitale de Cuba). Lancelot.
  • Avenue de palmiers devant une habitation de Cuba. E. de Bérard.
  • Cathédrale de la Havane. Navlet.
  • La volante (voiture de la Havane). Victor Adam.
  • Vue de Matanzas. Lancelot.
  • Paysage dans l'île de Cuba: Loma (coteau) de Candela. Paul Huet.
  • Paysage dans l'île de Cuba (Loma de la Givora). Paul Huet.
  • Grenoble et les Alpes dauphinoises. Karl Girardet.
  • Les Grands Goulets. Karl Girardet.
  • Pont-en-Royans. Doré.
  • Sainte-Croix et les ruines du château de Quint. Karl Girardet.
  • Die et la vallée de Roumeyer (vue prise des hauteurs de Saint-Justin). Français.
  • Le Mont-Aiguille (vu de Clelles). Daubigny.
  • Pontaix. Karl Girardet.
  • Roumeyer et le mont Glandaz. Français.
  • Entrée de la vallée de Roumeyer. Karl Girardet.
  • La vallée de Léoncel. Karl Girardet.
  • La vallée de la Véoure et de la plaine du Rhône (vue prise des hauteurs de la Vacherie). Karl Girardet.
  • Beaufort. Français.
  • La forêt de Saou. Sabatier.
  • Poët-Cellard. Karl Girardet.
  • Bourdeaux. Karl Girardet.
  • Le Velan et Plan-de-Baix (vue des sources du Ruïdoux). Karl Girardet.
  • Cascade de la Druïse. Karl Girardet.
  • La gorge de Trente-Pas. Karl Girardet.
  • Le mont Viso. Sabatier.
  • Le pont du Diable. Sabatier.
  • Le lac de l'Échauda. Sabatier.
  • Le Pelvoux. Sabatier.
  • Le mont Aurouze. Français.
  • Les montagnes du Devoluy. Karl Girardet.
  • Ruines de la Chartreuse de Durbon. Karl Girardet.

CARTES ET PLANS.

  • Carte de la Sicile, par M. A. Vuillemin.
  • Carte de la Perse, par M. A. Vuillemin.
  • Carte des grandes et petites Antilles, par M. A. Vuillemin.
  • Carte du haut Télémark (Norvége méridionale), d'après M. Paul Riant.
  • Carte de la presqu'île de Bergen , d'après M. Paul Riant.
  • Carte de la Chalcidique, par M. A. Vuillemin.
  • Partie du gouvernement d'Yakoutsk, par Piadischeff.
  • Carte de l'Australie, par M. A. Vuillemin.
  • Carte des voyages du docteur Henri Barth en Afrique (partie orientale) d'après M. de Lanoye.
  • Voyage du docteur Barth (Itinéraire de Sokoto à Tembouctou), par M. A. Vuillemin.
  • Carte du cours inférieur de l'Irawady comprenant les possessions britanniques et la partie sud du royaume d'Ava, d'après le capitaine H. Yule.
  • Plan d'Amarapoura et de sa banlieue, d'après les relevés du major Grant Allan.
  • Carte du cours supérieur de l'Irawady et partie nord du royaume d'Ava, d'après le cap. Yule.
  • Carte du voyage de Burton et Speke aux grands lacs de l'Afrique orientale (Itinéraire de Zanzibar à Kazeh).
  • Carte du voyage de Burton et Speke aux grands lacs de l'Afrique orientale (2 e partie).
  • Carte de l'île de Cuba, par M. A. Vuillemin.
  • Carte du Dauphiné (partie occidentale: Isère et Drôme), par M. A. Vuillemin.
  • Carte du Dauphiné (partie orientale: Isère et Hautes-Alpes), par M. A. Vuillemin.

I. Sous le titre Voyage d'un naturaliste , pages 139 et 146, on a imprimé: (1858.— INÉDIT ).—Cette date et cette qualification ne peuvent s'appliquer qu'à la traduction.

La note qui commence la page 139 donne la date du voyage (1838) et avertit les lecteurs que le texte a été publié en anglais.

II. Dans un certain nombre d'exemplaires, le voyage du capitaine Burton aux grands lacs de l'Afrique orientale , 1 re partie, 46 e livraison, le mot ORIENTALE se trouve remplacé par celui d' OCCIDENTALE .

III. On a omis, sous les titres de Juif et Juive de Salonique , dessins de Bida, pages 108 et 109, la mention suivante: d'après M. A. Proust.

IV. On a également omis de donner, à la page 146, la description des oiseaux et du reptile de l'archipel des Galapagos représentés sur la page 145. Nous réparons cette omission:

1º Tanagra Darwinii , variété du genre des Tanagras très-nombreux en Amérique. Ces oiseaux ne diffèrent de nos moineaux, dont ils ont à peu près les habitudes, que par la brillante diversité des couleurs et par les échancrures de la mandibule supérieure de leur bec.

2º Cactornis assimilis: Darwin le nomme Tisseim des Galapagos, où l'on peut le voir souvent grimper autour des fleurs du grand cactus. Il appartient particulièrement à l'île Saint-Charles. Des treize espèces du genre pinson , que le naturaliste trouva dans cet archipel, chacune semble affectée à une île en particulier.

3º Pyrocephalus nanus , très-joli petit oiseau du sous-genre muscicapa , gobe-mouches, tyrans ou moucherolles. Le mâle de cette variété a une tête de feu. Il hante à la fois les bois humides des plus hautes parties des îles Galapagos et les districts arides et rocailleux.

4º Sylvicola aureola . Ce charmant oiseau, d'un jaune d'or, appartient aux îles Galapagos.

5º Le Leiocephalus grayii est l'une des nombreuses nouveautés rapportées par les navigateurs du Beagle . Dans le pays on le nomme holotropis , et moins curieux peut-être que l' amblyrhinchus , il est cependant remarquable en ce que c'est un des plus beaux sauriens, sinon le plus beau saurien qui existe.

Le saurien amblyrhinchus cristatus , que nous reproduisons ici, est décrit dans le texte, page 147.

Iguane.

Amblyrhinchus cristatus , iguane des îles Galapagos.

Note 1: Sydney, chef-lieu de la Nouvelle-Galles méridionale, fondée en 1787 dans une baie magnifique connue sous le nom de port Jackson. Population 100 000 habitants; latitude sud 33° 51', longitude est 148° 40'.

Adélaïde, chef-lieu de la province de l'Australie du sud, fondée en 1836 sur la côte orientale du golfe Saint-Vincent, par 34° 58' de latitude et 136° 15' de longitude. Sa population est de 30 000 à 35 000 âmes. (Retour au texte principal.)

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Type(s) de contenu et mode(s) de consultation :  Texte noté. Image fixe : sans médiation

Titre clé :  Le Tour du monde (Paris. 1860)

Titre(s) :  Le Tour du monde [Texte imprimé] : nouveau journal des voyages / publié sous la direction de M. Édouard Charton et illustré par nos plus célèbres artistes

Mise(s) à jour du titre :  Le Tour du monde : journal des voyages et des voyageurs [1895-1914]

Numérotation :  Tome 1 (1860)-tome 68 (1894) nouvelle série, 1re année, t. 1 ( janvier 1895)-20e année, n° 31 (1er août 1914)

Publication :  Paris : Hachette, 1860-1914

Note(s) :  Tables : 1860-1888 ; 1889-1894 ; 1895-1910 ; 1860-1910

Description matérielle :  88 vol. : ill. ; 31 cm

Autre(s) auteur(s) :  Charton, Édouard (1807-1890) . Directeur de publication  Voir les notices liées en tant qu'auteur

Titre(s) en liaison :  - A pour reproduction : Le Tour du monde (Paris. 1860. Reproduction numérique) = ISSN 2419-5650. - URL : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32878283g/date (Bibliothèque nationale de France) - Absorbé par : Lectures pour tous (Paris) = ISSN 0982-166X - A comme supplément(s) :  Nouvelles géographiques (Paris) = ISSN 0982-1635 A travers le monde (Paris. 1895) = ISSN 0982-1643 - Titre en liaison : Découvreurs & voyageurs = ISSN 1953-9223 - Titre en liaison : Le Tour du monde (Collection) = ISSN 1776-7911

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Identifiants, prix et caractéristiques :  ISSN 0982-1651 = Le Tour du monde (Paris. 1860) Titre clé abrégé : Titre-clé abrégé : Tour monde (Paris, 1860) ISSN-L 0982-1651 cf. https://portal.issn.org/resource/ISSN/0982-1651

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après avoir monté 90 marches chacune de 37 centimètres ; une petite colonne surmonte la plate-forme. La hauteur totale est de 36 mètres environ. Ce minaret penche du côté du nord et est très-dégradé par les pluies et les neiges. Il est bâti en briques disposées de manière à former au dehors des dessins variés. J’ai recueilli ses inscriptions qui sont bien conservées, en montant sur des terrasses voisines. D’après un rapport fait par M. Reynaud à l’Académie des inscriptions et belles lettres, sur différentes inscriptions que j’avais envoyées à cette Académie et au nombre desquelles était celle du minaret de Semnan, ce monument remonterait au dixième ou onzième siècle de notre ère, et devrait être attribué à un personnage appelé Al-Hassan, fils de Mohammed.

La population de Semnan, ainsi que celle de Laskerd, parle un patois qui n’a de rapport avec aucune langue des pays voisins. On raconte à ce sujet qu’un roi de Perse, ayant à sa cour des interprètes de tous les patois de son empire, résolut d’en avoir aussi un qui fût capable de traduire la langue parlée à Semnan. À cet effet, il choisit parmi ses favoris un mirza des plus intelligents et l’envoya passer quelque temps dans le pays. Lorsque ce savant revint, le roi l’ayant questionné, il tira de dessous sa robe une gourde de pierre et l’agita fortement, en disant que ce bruit étrange était la véritable langue parlée à Semnan, ou du moins tout ce qu’il avait pu en apprendre et en rapporter.

le tour du monde 1867

9 avril. — En sortant de Semnan, on gravit une pente longue de près de quatre lieues qui conduit dans des défilés ; de cette hauteur, la ville et les villages semblent de petits points verts semés çà et là dans la plaine. Quand à la fin de l’hiver la végétation diapre les environs de Semnan, on ne foule dans les défilés voisins d’Ahouan, qu’un sol couvert de neiges et de glaces.

La station de ces hauteurs est inhabitée ; on y voit un caravanseraï, un tchapard-khané (poste) et une ruine qui doit être un ancien caravanseraï ; il ne s’y trouve qu’un peu d’eau, encore est-elle saumâtre ; pas de bois, par suite pas de cuisine. J’aperçus un arbre mort près d’une source ; je pris des cordes et ma hache de campagne, et, une fois monté sur l’arbre solitaire, j’entourai plusieurs grosses branches à l’extrémité desquelles j’avais fixé des cordes ; mes compagnons les tirèrent d’en bas. Il nous fut ainsi possible de préparer notre souper. Le gardien du caravanseraï ne fournit qu’un peu d’herbes sèches ou racines d’absinthe et de mauvais pain.

10 avril. — À six farsahks au delà, et par d’assez mauvais chemins, j’arrivai à Gonchè ; à trois farsahks plus loin, au village de Dowletabad.

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10 idées de promenades autour de Lyon

weekend proche de lyon

Lyon est une ville dont on vous parle souvent. Pour sa culture, sa gastronomie, son ambiance…  

Par exemple, on vous donnait ici des idées de balades à vélo autour de Lyon . Ou encore ici, des idées pour visiter Lyon quand il pleut. Ou des idées d’activités à faire en famille à Lyon. Et là, bien sûr, les spécialités culinaires lyonnaises à goûter absolument ! 

Et aussi, parce que Lyon est le point de départ de jolies balades  ! Aujourd’hui, on vous donne 10 suggestions de balades à faire autour de la « Capitale des Gaules ». En route pour la balade, au départ de Lyon ! 

1. De la place Bellecour à l'Île Barbe 

Une jolie balade urbaine ! Elle est plus qu’accessible, puisqu’elle part du centre de Lyon, longe les quais de Saône et vous mène ensuite jusqu’à l’île Barbe. En chemin, vous allez pouvoir apprécier les petites rues pittoresques de Saint-Rambert avant de profiter de la tranquillité de l’île. C’est la balade parfaite si vous êtes en week-end à Lyon et que vous voulez prendre un bol d’air ! 

2. La forêt à Lyon ! Une balade au Bois de Serres à Dardilly 

Une véritable forêt accessible de Lyon, sans voiture ? Partez à Dardilly, pour profiter du Bois de Serres ! Il n’y a pas moins de 90 hectares d’arbres et de sentiers qui vous attendent aux portes de Lyon. Le Bois de Serres est réputé pour sa faune ornithologique : la forêt abrite plus de 100 espèces d’oiseaux. C’est une forêt « à la française », avec de hauts arbres feuillus : des chênes, des ormes, des frênes et des charmes. Idéal pour une journée « verte », un pique-nique, et un retour sur Lyon après une belle balade.  

3. Parc de Lacroix Laval 

Accessible en transports, le parc de Lacroix Laval est le lieu idéal pour celles et ceux qui cherchent un lieu où se rapprocher de la nature, sans avoir besoin de voiture. Le parc de Lacroix Laval est un large espace de verdure. Si quand on vous dit « parc », vous imaginez un petit terrain avec deux arbres et une pelouse un peu chiche (oui, on s’adresse aux parisien(ne)s, désolés…), vous allez voir qu’en région lyonnaise, ce n’est pas la même chose. Ici, grandes prairies, étangs, ruisseaux, sentiers au cœur des bois vous donnent l’impression d’une nature sans limite. Et il y a mieux : un magnifique château renaissance avec son jardin à la française ! Vous pourrez sans problème y faire des balades sportives pour digérer vos spécialités culinaires lyonnaises. Mais aussi y flâner tranquillement avec les enfants, et vous balader paisiblement avant de rentrer à Lyon.  

4. Parc de Miribel Jonage 

Le parc de Miribel Jonage est lui aussi accessible en transports au départ de Lyon, et très bien desservi. Il est à quelques kilomètres de la ville seulement. Vous y croiserez des lyonnais et des lyonnaises qui viennent là pour pique-niquer, et aussi se baigner dans le lac en été ! Mais le parc est accessible en toute saison. Il est particulièrement magnifique en automne, quand toutes les essences d’arbre rivalisent de couleurs éclatantes. Et même si vous n’avez pas envie de vous baigner, nous vous recommandons de faire le tour du lac. C’est une très jolie balade, et à quelques kilomètres de Lyon !  

5. Ascension du Mont Thou 

Il y a différents itinéraires si vous voulez grimper sur le Mont Thou. Quel que soit le chemin choisi, vous ne regretterez pas d’être monté(e) jusqu’en haut ! Le Mont Thou offre en effet une vue imprenable sur Lyon… et plus loin sur les Alpes ! Le Mont Thou est le deuxième plus haut des Monts d’Or. C’est une bonne marche, mais sans difficulté particulière, et cela vaut le coup : la photo prise d’en haut sera inoubliable ! 

Vous voulez trouver des balades au départ de Lyon, sans prendre la voiture ? Pas de problème, il y a des trains ! Vous pouvez aller jusqu’à Vienne, par exemple, en à peine une demi-heure. Cette jolie ville de l’Isère est une au passé riche d’histoire. Vous pourrez notamment voir, jusque dans l’hyper-centre, de nombreux vestiges romains. Vienne a aussi un temple romain (temple d’Auguste et Livia), l’un des mieux conservés au monde.  

La grand-rue, toute proche de la gare, accueille des commerces où vous trouverez du vin (forcément), mais aussi d’autres gourmandises locales à goûter – et rapporter ! Il pleut ou vous avez perdu l’envie de marcher en plein air ? Il y a deux musées : le musée des Beaux-Arts et d’Archéologie de Vienne, et juste de l’autre côté du pont, à Saint-Romain-en-Gal, le musée gallo-romain.  

Autre balade accessible en transports depuis Lyon : Oingt. Oingt fait partie des plus beaux villages d’Auvergne Rhône Alpes. Il appartient à ce que l’on appelle le « Pays des Pierres Dirées » : un territoire où les maisons traditionnelles sont d’un magnifique ocre clair. Vous vous y baladerez entre des maisons à l’ancienne et des ruelles ombragées pour aller visiter le château et le donjon. Le village surplombe les vignobles du Beaujolais – préparez l’appareil photo au moment du coucher de soleil.  

En haut d’Oingt, vous trouverez l’église Saint-Mathieu. Et la tour, si vous avez le courage d’y monter ! On vous encourage à le faire : le panorama magnifique vaut bien quelques minutes de cardio.  

8. Pérouges 

Pérouges est un autre village médiéval des environs de Lyon, lui aussi accessible en transports. C’est une balade agréable, au milieu des maisons de pierre, avec une petite impression de remonter le temps… mais c’est aussi une destination très gourmande, car la spécialité locale est la tarte au sucre ! Pour mériter votre goûter, vous pouvez si vous le voulez aller jusqu’en haut des monts du Bugey, dont le Grand Colombier et le Mont du Chat. Ça vous mettra en appétit ! 

9. Les Carrières de Glay et la route des Vins Beaujolais 

Les Carrières de Glay est un lieu à voir. Il s’agit d’un site géologique qui permet une jolie balade de 1h30 environ. C’est grâce à ces carrières que le « Pays des Pierres Dorées » a pu voir le jour. Sans elles, pas de maison ! Ni de balade d’ailleurs, car les excavations successives ont fait des Carrières de Glay un spot incontournable pour les passionnaé(e)s de géologie ! 

C’est très proche de la route du Beaujolais. Vous pouvez donc en profiter pour découvrir les vignobles de la région – libre à vous ensuite de goûter le vin, toujours avec modération bien sûr !  

10. Les Grottes de la Balme 

Vous avez déjà visité des grottes ? Si non, vous devriez essayer ! En été, il y fait plus frais. Et en hiver, la température y est stable ! Et puis, c’est l’occasion d’une balade originale. Près de Lyon vous attendent les grottes de la Balme (entre 12°C et 15°C toute l’année !). Un véritable labyrinthe naturel. Une véritable plongée au cœur de la Terre ! On y admire stalactites, stalagmites, et même un lac souterrain… Il y a près de 1 000 mètres de galeries à explorer – avec un(e) guide, bien sûr ! 

En sortant des grottes, vous pourrez récupérer le sentier « Les Coteaux de Saint-Roch », un espace naturel préservé qui vous fait cheminer le long des falaises, des forêts et des pelouses sèches des alentours. L’occasion d’admirer de nombreuses espèces protégées lors d’une balade très agréable. 

Promenades autour des lacs des environs de Lyon 

Dans la région de Lyon, il y a également des lacs : ce sont de très bons spots de balades ! En revanche, la plupart d’entre eux nécessitent d’avoir accès à une voiture. C’est pour cela qu’on vous les propose en fin d’article, car se déplacer vert, quand on le peut, c’est quand même mieux ! Mais si vous avez un véhicule, vous pouvez aller vous balader… 

Au Lac des Sapins 

Pour une journée en plein air ! Niché en plein bois, ce lac propose aussi une aire de jeux et un espace où pique-niquer. Mais pas seulement ! Il y a aussi un parcours de santé, un d’accrobranche, une base nautique, la possibilité de pêcher… Parfait pour une journée de farniente et de balade en famille.  

Le saviez-vous ? C’est la plus grande piscine biologique d’Europe ! 

Au Lac du Ternay 

À seulement une heure de Lyon en voiture, le lac de Ternay est un plan d’eau construit en 1867. Au départ, il sert à alimenter en eau la ville d’Annonay. Calme et tranquille, ce lieu apaisant propose une petite balade de 4km le long d’un chemin à l’ombre appréciable en été. Prenez de quoi faire des photos : les cèdres du Liban centenaires et les séquoias géants sont magnifiques.  

Au Lac d’Aiguebelette 

« Aiguebellette » signifie « belles petites eaux ». Et ce lac porte bien son nom ! Si vous cherchez une promenade entre montagne et nature, c’est parfait. En plus de la balade, il y a sur place des aménagements pour tous les publics : aviron, kayak, randonnées… 

Au Lac Nantua 

Un lac bleu saphir, entouré de falaises calcaires, qui permet non seulement de magnifiques balades, mais aussi la pratique de sports nautiques. Pédalo, ski nautique, voile, canoë… Entre ami(e)s, en famille… il y aura de quoi faire plaisir à tout le monde. Si vous voulez pousser la balade, une randonnée un peu plus complexe vous fera avancer à travers la forêt pour atteindre un autre lac, celui de Sylans. Plus dur ! Mais la vue à l’arrivée vaut le coup.  

Au Lac Bleu d’Ambérieu 

Aux alentours de Pérouges, dont nous vous parlions plus haut, vous trouverez un lac dont l’eau bleu turquoise semble presque irréelle, comme tirée d’un film sur les tropiques. C’est un joli spot de balades, qui offre des endroits où pique-niquer, des sentiers de randonnée, au calme et au cœur de la nature.  

Alors ? Vous chaussez les baskets ? Et rendez-vous ici pour acheter des billets pour Lyon à petit prix  ! 

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VTT, Cross-Country : "Je pense que j'ai fait le tour" : Ferrand-Prévôt va arrêter le VTT à la fin de cette saison

Tanguy Mantovani

Mis à jour 27/05/2024 à 15:12 GMT+2

La quintuple championne du monde de cross-country Pauline Ferrand-Prévôt a annoncé ce dimanche, en direct sur Eurosport, son retrait de la discipline à l'issue de la saison et des Jeux Olympiques de Paris 2024. La Française ambitionne un retour sur route, dix ans après son titre de championne du monde de la spécialité.

Ferrand-prévot comme une reine à nove mesto : son arrivée en vidéo.

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Ferrand-Prévot : "C'est ma dernière saison en VTT"

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IMAGES

  1. Édouard Charton

    le tour du monde 1867

  2. Calaméo

    le tour du monde 1867

  3. Le tour du monde en quatre-vingts jours

    le tour du monde 1867

  4. Le Tour du Monde 1867

    le tour du monde 1867

  5. M. Edouard Charton

    le tour du monde 1867

  6. 598: ANGE-LOUIS JANET-LANGE, Indians Attacking a Stagecoach from Le

    le tour du monde 1867

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COMMENTS

  1. Le Tour du Monde

    Le Tour du monde (Around the world) was created in January 1860 by Édouard Charton, designer of Le Magasin pittoresque, under the aegis of the Librairie Hachette : every six months, the weekly booklets sold through the network of railway stations, gathered in one volume, which was offered in bookstore. A second series was inaugurated in 1895 ...

  2. Le Tour du monde (Paris. 1860)

    Le Tour du monde (Paris. 1860) - 53 années disponibles - Gallica. Accueil. Années disponibles. Le Tour du monde (Paris. 1860) ×. Rechercher. Informations détaillées. 53 années disponibles - 88 numéros. 1860.

  3. Le Tour du monde : nouveau journal des voyages / publié sous la

    Le Tour du monde : nouveau journal des voyages / publié sous la direction de M. Édouard Charton et illustré par nos plus célèbres artistes -- 1860-07-01 -- fascicules 01 juillet 1860 1860/07/01 (2)-1860/12/31.

  4. Le Tour du Monde, Nouveau Journal de Voyages 1867 · RevColEurop

    Le Tour du Monde, Nouveau Journal de Voyages Librairie Hachette et Cie, boulevard Saint-Germain, 79, Paris. Le Tour du Monde, Nouveau Journal de Voyages 1867. Cette bibliothèque numérique s'inscrit dans le cadre d'un nouveau projet intitulé « RevColEurop ».<br /> <br /> Elle a pour objet de mettre à disposition les périodiques ...

  5. LE TOUR DU MONDE

    le tour du monde. imprimerie gÉnÉrale de ch. lahure rue de fleurus, 9, à paris. le tour du monde nouveau journal des voyages. publiÉ sous la direction de m. Édouard charton et illustrÉ par nos plus cÉlÈbres artistes. 1860 deuxiÈme semestre. librairie de l. hachette et c ie paris, boulevard saint-germain, n o 77 londres, king william ...

  6. LE TOUR DU MONDE

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  7. Gallica

    Format de téléchargement: : Texte. Vues 1 à 430 sur 430. Nombre de pages: 430. Notice complète: Titre : Le Tour du monde : nouveau journal des voyages / publié sous la direct

  8. Le tour du monde : nouveau journal des voyages

    New series has title: Le tour du monde: journal des voyages et des voyageurs--cf. Dictionary catalog of the library / The Mariners Museum, Newport News, Virginia, v. 8, p. 347 Subtitle varies Index at end of each issue New series supplemented by: À travers le monde. Cf. Union list of serials, 3rd ed Webster's Fine Books & Maps; 26 29

  9. LE TOUR DU MONDE

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  10. Le Tour du monde

    Le Tour du monde, nouveau journal des voyages est un hebdomadaire français publié à partir de janvier 1860 [1].Il porta aussi le nom de Le Tour du monde, journal des voyages et des voyageurs (1895-1914). Le magazine encourageait l'expansionnisme européen par des récits de voyage de haute qualité littéraire mis en images par quelques-uns des plus remarquables illustrateurs et ...

  11. Le Tour du monde

    Le Tour du monde. nouveau journal des voyages. Paris : Librairie Hachette et Cie, 1860-1894 (68 volumes) et 1895-1914 (nouvelle série, 20 volumes) Le Tour du monde, nouveau journal des voyages est un hebdomadaire français publié à partir de janvier 1860. Il porta aussi le nom de Le Tour du monde, journal des voyages et des voyageurs (1895 ...

  12. Exploratory Expedition through Indochina.

    Voyage d'exploration en Indo-Chine (Exploratory expedition through Indochina) is an edited and annotated reprint of the account of the Mekong expedition of 1867-68, first published in 1870 in the French geographic weekly Le Tour du Monde. The book is by Francis Garnier (1839-73), the young naval officer who is credited with proposing and being the driving force behind the expedition, which was ...

  13. Louis Rousselet

    Portrait of Louís Rousselet dressed as an Indian native. 1867 Crushing by Elephant, an execution depicted in Rousselet's "Le Tour du Monde", 1868. ... Indian diary along with woodcut illustrations taken mostly from his sketches and photographs in a French weekly journal Le Tour du Monde. Many of the engravings were by Émile Thérond.

  14. Notice bibliographique Le Tour du monde (Paris. 1860)

    Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté. Image fixe : sans médiation. Titre clé : Le Tour du monde (Paris. 1860) Titre(s) : Le Tour du monde [Texte imprimé] : nouveau journal des voyages / publié sous la direction de M. Édouard Charton et illustré par nos plus célèbres artistes Mise(s) à jour du titre : Le Tour du monde : journal des voyages et des voyageurs [1895 ...

  15. Revue géographique

    1867. (PREMIER SEMESTRE) PAR M. VIVIEN DE SAINT-MARTIN. TEXTE INÉDIT. Annonce de la mort du docteur Livingstone, assassiné par les Noirs. Récit de Mousa, chef de l'escorte du voyageur. — Doutes suscités par des informations ultérieures. Une expédition préparée à Londres pour aller constater sur les lieux mêmes le sort du voyageur.

  16. Around the World in Eighty Days

    Around the World in Eighty Days (French: Le Tour du monde en quatre-vingts jours) is an adventure novel by the French writer Jules Verne, first published in French in 1872.In the story, Phileas Fogg of London and his newly employed French valet Passepartout attempt to circumnavigate the world in 80 days on a wager of £20,000 (equivalent to £1.9 million in 2019) set by his friends at the ...

  17. Le tour du monde ; Tome 1er semestre 1867

    Le tour du monde ; Tome 1er semestre 1867. Le tour du monde ; Tome 1er semestre 1867. Nouveau journal des voyages. Localisation CA 2. Référence 8902. Edition Paris. Hachette. 1867. Collation 434 p. 31 cm. Nombre de volume 1. Auteur(s) : Edouard Charton; Illustrés par de célèbres artistes. Ce journal a été fondé en 1860 par Edouard ...

  18. Le Tour du monde, 1861 : Hachette. : Free Download, Borrow, and

    Le Tour du monde, 1861 by Hachette. Publication date 1861 Usage Public Domain Mark 1.0 Topics Le Tour du monde, 1861, Hachette. Collection opensource Language French. Le Tour du monde, 1861, Hachette. Addeddate 2022-10-21 19:57:17 Identifier hachette_letourdumonde_1861 Identifier-ark

  19. Page:Le Tour du monde

    Voyage de l'océan Pacifique à l'océan Atlantique, à travers l'Amérique du Sud, par M. Paul Marcoy. (1848-1860. — Texte et dessins inédits.) Brésil. — Douzième étape. — De Tabatinga à Santa Maria de Belem do Para (suite). — Le sloop Santa Martha. — Sao José de Maturi. — Embouchure de la rivière Cayari, que les ...

  20. Le tour du monde en 240 jours Canada, Etats-Unis, Japon, Chine

    Le tour du monde en 240 jours Canada, Etats-Unis, Japon, Chine, Hindoustan: Author: Michel, Ernest, né 1837: Note: Patronage de Saint-Pierre, 1882 : Link: page images at HathiTrust: No stable link: This is an uncurated book entry from our extended bookshelves, readable online now but without a stable link here.

  21. Le Tour du monde en quatre-vingts jours

    Le Tour du monde en quatre-vingts jours est un roman d'aventures de Jules Verne, publié en 1872.. Le roman raconte la course autour du monde d'un gentleman anglais, Phileas Fogg, qui a fait le pari d'y parvenir en quatre-vingts jours.Il est accompagné par Jean Passepartout, son fidèle domestique français.L'ensemble du roman mêle récit de voyage (traditionnel pour Jules Verne) et données ...

  22. Tour du monde

    Un tour du monde est un voyage qui consiste à parcourir complètement et dans un sens donné le globe terrestre jusqu'à revenir à son point de départ. Il ne s'envisage le plus souvent que comme un voyage à des latitudes relativement faibles d'ouest en est ou inversement.. Les premiers hommes à avoir accompli un tour du monde en bateau sont des membres du voyage de Fernand de Magellan (20 ...

  23. Revue Le Tour du monde

    La revue L e Tour du monde (1860-1914) a participé à la création d'un imaginaire colonial en publiant de nombreux récits de voyages illustrés, notamment en Afrique. Elle a touché un très large lectorat auquel elle a fait découvrir des terres alors inexplorées. La sélection présentée ici vise à montrer la variété des contributions.

  24. Lomme : le tour du monde avec le week-end des percussions

    Avec le week-end des percussions du monde, le public, très nombreux, a véritablement fait le tour du monde avec des escales au Brésil, en Egypte, au Pérou, à Cuba, en Espagne, en Côte d ...

  25. Page:Le Tour du monde

    Le Tour du monde - 13.djvu/230. Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé. Une coquille a été corrigée. après avoir monté 90 marches chacune de 37 centimètres ; une petite colonne surmonte la plate-forme. La hauteur totale est de 36 mètres environ.

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    Il y a deux musées : le musée des Beaux-Arts et d'Archéologie de Vienne, et juste de l'autre côté du pont, à Saint-Romain-en-Gal, le musée gallo-romain. 7. Oingt. Autre balade accessible en transports depuis Lyon : Oingt. Oingt fait partie des plus beaux villages d'Auvergne Rhône Alpes.

  27. Twenty Thousand Leagues Under the Seas

    Twenty Thousand Leagues Under the Seas (French: Vingt Mille Lieues sous les mers) is a classic science fiction adventure novel by French writer Jules Verne.. The novel was originally serialized from March 1869 through June 1870 in Pierre-Jules Hetzel's fortnightly periodical, the Magasin d'éducation et de récréation.A deluxe octavo edition, published by Hetzel in November 1871, included 111 ...

  28. La Tour d'Argent

    La Tour d'Argent est un restaurant français du 5 e arrondissement de Paris, souvent cité comme étant parmi les plus anciens restaurants de France, qu'on prétend avoir été fondé en 1582 par Rourteau. Situé au 15-17, quai de la Tournelle (à l'angle de la rue du Cardinal-Lemoine), il est notamment connu pour la vue panoramique qu'il offre sur la Seine et sur la cathédrale Notre-Dame ...

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    Champion du monde espoirs en titre, Axel Laurance vit une saison faste avec un quatrième bouquet glané, le général du Tour de Norvège.

  30. VTT, Cross-Country : "Je pense que j'ai fait le tour ...

    Pauline Ferrand-Prévôt veut revenir sur route : la quintuple championne du monde de cross-country a annoncé sa retraite de la spécialité à la fin de la saison.